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Plusieurs conventions signées
Lors de ce forum mondial, plusieurs contrats ont été signés sans parler des conventions pour soutenir les startups. Le ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration a fait le plein de conventions. Après l’annonce de Moukawala Raqmiya, la ministre Ghita Mezzour a scellé deux nouveaux partenariats. Le premier avec le Technopark. Il vise à renforcer les capacités de Technopark pour offrir un meilleur soutien aux startups et les aider à se développer sur les marchés nationaux et internationaux. Elle vise également à stimuler la recherche et le développement dans le domaine de l’entrepreneuriat innovant et de l’économie numérique, afin de favoriser l’esprit d’innovation dans les entreprises et de développer les compétences technologiques. La deuxième convention a été signée entre le ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’Administration et YouCode, dans le but de créer d’autres écoles spécialisées dans la programmation et le codage numérique, à destination des jeunes de différentes régions du Maroc. Cette convention, qui s’étend sur la période 2023-2026, contribuera au développement des métiers du numérique et renforcera le réseau d’entreprises du secteur numérique dans tout le pays. Chaque promotion de l’école YouCode diplômera 50 jeunes, et un espace sera mis en place pour accompagner les jeunes qui souhaitent lancer leur propre projet ou leur startup dans le domaine du numérique.
Lors du Gitex Africa Digital Summit, l’UM6P Ventures et Chari ont conclu un accord de collaboration visant à explorer de nouvelles opportunités d’investissement et renforcer le soutien aux startups. Les deux entités s’engagent à travailler ensemble pour définir les modalités de ce partenariat, dans le but de promouvoir une croissance durable et un développement harmonieux des écosystèmes entrepreneuriaux.
Lire aussi : TPME : lancement de la plateforme «Moukawala Raqmiya»
Des innovations majeures
Ce grand rassemblement a permis aux visiteurs de découvrir des nouveautés en avant-première dans tous les segments du digital. Constructeurs et opérateurs étaient tous réunis pour présenter leurs dernières innovations technologiques. Intelligence artificielle (IA), applications médicales, solutions de sécurité informatique, technologie embarquée… Il y avait des choses à voir et à tester au GITEX. Selon Hamza Kadiri, féru de nouvelles technologies : «Il m’a fallu toute une journée pour parcourir les stands des différentes grandes firmes technologiques. C’est que je suis très curieux et j’aime comprendre comment ça fonctionne. Alors, je pose plein de questions et je n’hésite pas à demander un essai». Notre interlocuteur avait déjà fait le déplacement aux Émirats pour assister au GITEX. «Ce n’est pas pareil. Là-bas, c’est plus flashy mais le GITEX Maroc est beaucoup plus riche en termes de contenu. Aussi, il y a plus d’interlocuteurs francophones», nous révèle-t-il…
Lire aussi : GITEX Africa : le gotha du digital réuni à Marrakech
Hôtels complets, circulation au ralenti… Marrakech a vécu trois jours durant une parenthèse digitale inédite. À la chaleur pré-estivale s’est invitée celle des échanges entre les professionnels de l’économie numérique. Le «GITEX Africa» est considéré comme le plus grand événement entrepreneurial en Afrique, et est une initiative de «GITEX GLOBAL» basé à Dubaï, le plus grand salon mondial de la technologie et des startups. Cette première édition au Maroc reflète l’engagement de l’événement à accélérer le développement des infrastructures numériques en Afrique, en réunissant des leaders des secteurs public et privé, des décideurs politiques, des investisseurs et des universitaires pour des échanges fructueux visant à promouvoir l’économie numérique.
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