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L’examen standardisé de la sixième année du primaire suscite aujourd’hui une réelle appréhension chez les élèves. Des spécialistes plaident pour une approche d’évaluation plus ludique et axée sur les compétences fondamentales.
Le souvenir du premier examen standardisé, avec ses émotions intenses, reste gravé dans les esprits. L’angoisse qui l’accompagne et les attentes qu’il génère, transforment ce moment, censé être une évaluation des connaissances, en une épreuve redoutée. Selon une mère, son fils de 8 ans est déjà anxieux à l’idée de ce test déterminant pour son avenir. L’expert Mohamed Guedira, professeur en politiques éducatives, souligne que cet examen, censé évaluer objectivement les acquis, génère plutôt des frustrations et crée un climat de peur qui altère l’enthousiasme pour l’apprentissage.
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Le Maroc, à l’instar d’autres pays, a intégré ce type d’examen pour le passage au cycle collégial, contrairement à d’autres nations où la transition se fait sans évaluation. Guedira déplore que cette mesure soit souvent perçue comme une intimidation plutôt que comme une opportunité d’évaluation. Il appelle à une révision des méthodes d’évaluation en adoptant une approche plus dynamique et moins anxiogène pour favoriser l’engagement des élèves.
Dans cette perspective, la formation continue des enseignants est essentielle pour mettre en place des techniques d’évaluation qui encouragent un apprentissage actif où l’erreur est perçue comme une chance d’évoluer.
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