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L’Institut royal des études stratégiques (IRES) a publié les résultats de son étude annuelle sur la réputation du Maroc dans le monde faiteen partenariat avec «The RepTrak Company». Il en ressort que le Maroc a grimpé de 8 places dans le classement général passant ainsi de la 35e place à la 27e place mondiale avec une note de 64,2 points (sur une échelle de 0 à 100), rapporte le journal Aujourd’hui le Maroc dans son édition du jeudi 10 septembre 2020.
L’Étude précise que le Maroc est bien réputé du côté de la France, des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Australie, mais que sa côte est moins bonne dans des pays comme la Turquie, le Chili, l’Afrique du Sud, la Suède et le Nigéria. Le Maroc a enregistré les meilleurs scores dans les axessuivants : environnement naturel (78,5 points sur 100), loisirs et distractions (73,3 points sur 100), population aimable et sympathique (72,2 points) et style de vie (62,9 points). Par contre, les scores sont moins bons concernant les points suivants: population éduquée et de confiance (60,2 points sur 100), qualité de produits et services (59,4 points), culture (57,9 points), système éducatif (57,2 points), technologie et innovation (49,8 points).
Les citoyens des pays du G8 perçoivent davantage le Maroc comme une destination touristique qu’un acteur actif de l’économie mondiale. Tout en haut du classement, la Suisse occupe la première place du classement des pays étudiés (83,2 points), suivie de plusieurs pays scandinaves: la Norvège (82,5 points), la Finlande (82,3 points) et la Suède (82,0 points). En bas du classement, on retrouve des pays comme l’Irak, l’Iran, le Pakistan, la Russie, le Nigeria, l’Arabie Saoudite, le Venezuela, la Colombie et le Nicaragua.
La réputation interne s’améliore
Selon l’étude, la réputation interne est également en hausse. Cette dernière aurait augmenté de 10,6 points en 2020 pour atteindre 70,9 points, rapporte Medias24. Selon le site économique, cette moyenne pourrait être expliquéepar le fait que «les personnes interrogées au Maroc considèrent plus que les étrangers que leur pays est riche en culture et en histoire et respecté à l’échelle internationale, et qu’ils vivent dans un pays où la sécurité règne et où la population est aimable et sympathique. En revanche, ilsrestent sceptiques quant à l’éthique et la transparence, l’usage efficace des ressources et au système éducatif».
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