Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Pendant le confinement, plusieurs ONG ont alerté les autorités nationales et les médias et sensibilisé le public sur l’ampleur des violences faites aux femmes. Cette crise sanitaire a accentué les discriminations et a rendu visibles des inégalités préexistantes et qui se sont aggravées. Cependant, un changement social est né. Il a démontré une facette positive de la société marocaine : celle du partage des tâches et des responsabilités entre les femmes et les hommes au sein des familles. Des actions individuelles, indépendantes, partagées sur les réseaux sociaux ont prouvé l’évolution des mentalités et l’engagement des hommes pour l’égalité.
Ainsi, Quartiers du Monde s’engage à son tour à porter ce message contre les inégalités femmes/hommes à travers la chanson Daba o Dima. Cet hymne vient rappeler que les hommes doivent prendre leur part de responsabilité sans jugement et considérer leurs actions comme une norme. Parce qu’il est essentiel, aujourd’hui et pour toujours, de chercher à améliorer le bien-être, le bonheur, l’amour, la santé et la sécurité de toutes les personnes de la famille, et de diminuer la panique liée à la crise sanitaire, les discriminations, la pression et les violences faites aux femmes et aux enfants. Daba o Dima est une promesse de la coresponsabilité des hommes au sein du foyer, pour permettre à la nouvelle génération de s’approprier une nouvelle vision du partage entre les femmes et les hommes.
Faire basculer les stéréotypes
Au cours de ces derniers mois de confinement, des hommes, toutes catégories sociales confondues, se sont engagés, notamment sur les réseaux sociaux, à faire basculer les pratiques et les stéréotypes sur les rôles assignés aux femmes et aux hommes. Certains en témoignent :
«Moi je mets les couches au nouveau — née, je lui donne son bain, elle dort avec moi… Nous avons des jumelles, chacun de nous s’occupe d’un bébé. Je n’ai aucun problème à assurer ces tâches», témoigne un jeune papa de Salé.
«Notre génération a changé d’attitude par rapport aux générations qui nous ont précédés. La société n’est plus aussi patriarcale qu’auparavant. On est plus sensibilisé sur ce genre de questions via les médias sociaux. Ceci dit il y aura toujours des commentaires mal placés envers les hommes qui apportent de l’attention et de l’aide à leur femme enceinte, mais je m’en fous, je suis libre de faire ce que je veux chez moi», témoignage d’un jeune homme de Fkih Ben Saleh.
Temps de lecture : 3 minutes
HCP : lancement des entretiens pour le RGPH 2024Le Haut Commissariat au Plan (HCP) a annoncé le début des entretiens oraux pour les candidats à la participation au Recensement général de … |
Rapport : le SNPM plaide pour la révision des lois relatives à la presse et l’éditionLe syndicat national de la presse marocaine (SNPM) souligne la nécessité de généraliser les conventions collectives pour protéger les droits… |
L’avocat et militant des droits humains, Abdelaziz Nouidi, est décédéLa Maroc perd un de ses plus grands militants des droits de l'Homme. Abdelaziz Nouidi est décédé subitement à Rabat. L’avocat serait mort d’… |
13 imams herragas ne veulent plus rentrer au MarocUne délégation de treize imams marocains envoyés en Europe pour diriger les prières du Tarawih pendant le Ramadan n'est pas rentrée au Maroc… |
Nouveau coup de filet antiterroriste du BCIJLe Bureau central d'investigations judiciaires (BCIJ), relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), vient d fr… |
La Fondation OCP dresse son bilan 2023Dans son rapport, la Fondation OCP évoque une année 2023 marquée par une dynamique soutenue d'initiatives à fort impact visant principalemen… |
Marrakech : intoxication mortelle dans un snackUne tragédie a secoué le quartier M’Hamid de Marrakech, suite à une grave intoxication alimentaire survenue dans un snack. 3 personnes ont p… |
IA : l’AESVT organise les 16e journées universitaires 2024L’AESVT Maroc et ses partenaires organisent les 16e journées universitaires 2024 sur le thème : « Repenser l’enseignement et l’apprentissage… |