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L’ALCS a décidé de publier ce communiqué après que le nouveau ministre de la Santé, Khaled Aït Taleb, a annulé un appel d’offres concernant les fournisseurs de médicaments contre l’hépatite C. Cette décision entraînerait une hausse tarifaire de 2 660 à 4 950 dirhams pour ce type de médicaments, déplore l’association. Elle souligne aussi qu’il est crucial que le ministère de la Santé lance le plus tôt possible, un nouvel appel d’offres pour approvisionner le marché marocain en médicaments contrecette maladie, et dont lesprix devraient êtreplus raisonnables. « Tout retard entraînerait une aggravation de l’état de santé des gens et augmenterait le risque du développement d’autres complications nécessitant des traitements encore plus coûteux, notamment la cirrhose et le cancer du foie », ajoute l’organisme. L’ALCS a également rappelé l’objectif du ministère de la Santé d’éliminer l’hépatite C au Maroc à l’horizon 2030.
Par ailleurs, en juillet 2019, l’association a partagé des chiffres alarmants sur l’hépatite C au Maroc. Environ 5 000 Marocains meurent chaque année de cette maladie, soit en moyenne 15 décès par jour. En outre, 400 000 autres en souffrent actuellement et environ 16 nouvelles victimes contractent la maladie chaque jour. Notons que l’hépatite C est une maladie qui provoque une inflammation et une infection du foie. Elle se manifeste après une infection par le virus de l’hépatite C. Elle peut être aiguë ou chronique etest surtout très contagieuse.
L’ALCS a démarré ses activités en 1988. C’était la première association de lutte contre le VIH/SIDA dans la région MENA. Au début, son objectif principal était de soutenir financièrement, socialement et psychologiquement les malades du SIDA. Cependant, au fur et à mesure, elle a commencé à soutenir les patients souffrant d’autres pathologies, dont les maladies sexuellement transmissibles et l’hépatite.
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