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Ghosn accuse les fabricants japonais d’avoir rompu son contrat en tant qu’employé de NMBV, leur filiale commune basée aux Pays-Bas, et demande jusqu’à 15 millions d’euros de dommages et intérêts.
L’ancien directeur de Renault et de Nissan est en instance de procès au Japon pour mauvaise conduite financière.
Il a été maintenu derrière les barreaux pendant plus de 100 jours avant d’être libéré sous caution et congédié de tous ses postes de direction.
Les crimes financiers imputés à Ghosn
Ghosn est accusé d’avoir sous-déclaré des milliards de yens de revenus chez Nissan et d’avoir utilisé les fonds de l’entreprise pour ses dépenses personnelles — accusations qu’il rejette vigoureusement.
Ses avocats affirment que si Ghosn a démissionné de Renault-Nissan BV (RNBV), il n’a pas démissionné de NMBV et que « la rupture du contrat » était injustifiée, a déclaré Le Figaro.
De leur côté, Nissan et Mitsubishi affirment que le contrat de Ghosn était nul, ajoute le média français.
NMBV avait remercié Ghosn après une réunion de son conseil d’administration le 12 mars dernier — le même jour que l’annonce de sa dissolution.
Le Figaro a précisé que les fabricants cherchaient à récupérer quelque 7,82 millions d’euros payés à Ghosn par NMBV entre avril et novembre 2018.
Renault a annoncé début juin qu’il envisageait de prendre des mesures contre son ancien patron après avoir identifié 11 millions d’euros de « dépenses douteuses » liées à Ghosn chez RNBV.
Le début de l’affaire Ghosn
Ghosn, âgé de 65 ans, a été arrêté en novembre dernier après son arrivée dans son jet privé à l’aéroport Haneda de Tokyo.
Sa chute dramatique a secoué le monde des affaires et révélé des tensions au sein de l’alliance entre Renault, Nissan et leur partenaire japonais Mitsubishi.
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