Groupe E : Angola, Mali, Mauritanie, Tunisie
Les Aigles de Carthage de retour au firmament ?
L’une des particularités du tirage au sort de cette CAN 2019 c’est qu’il n’a permis de constituer aucun «groupe de la mort» à proprement parler. A ce jeu, le groupe E se présente comme l’un des plus ouverts du tournoi. Du haut de son titre de championne d’Afrique 2004, la Tunisie par logiquement favorite. Depuis ce sacre, les Aigles de Carthage ont régulièrement passé le cut de la phase de groupes (sauf en 2010 et 2013), mais n’ont jamais volé plus haut que les quarts de finale.
Pour retrouver les sommets, la Tunisie pourra miser sur le potentiel offensif de ses individualités, notamment Youssef Msakni, Wahbi Khazri, ou autre Naim Sliti. «La plupart des joueurs ont atteint un bon niveau de préparation physique, ce qui est important pour dans une compétition de haut niveau», déclarait le sélectionneur Alain Giresse à l’issue du stage de préparation des siens. Concernant les ambitions de son groupe dans cette Coupe d’Afrique, le technicien français ne se cache pas. «Nous aspirons à aller le plus loin possible dans cette CAN. Nos ambitions sont illimitées». La concurrence est prévenue.
Le Mali en embuscade
Dans cette poule, Alain Giresse aura notamment affaire à une ancienne connaissance, le Mali qu’il a mené à la 3e place en 2012. Sans lui, les Aigles maliens ont de nouveau arraché la dernière place du podium en 2013. Depuis, ils n’ont plus jamais réussi à s’extirper de la phase de groupe. Cette CAN 2019 est donc l’occasion de renouer avec les bonnes habitudes, 47 ans après la seule finale disputée par le Mali en Coupe d’Afrique au Cameroun en 1972.
Les hommes de Mohamed Magassouba ont besoin de briller, après avoir vu l’ombre d’une suspension planer sur eux à quelques jours du coup d’envoi. La FIFA avait en effet suspendu la fédération malienne pour ingérence du pouvoir politique dans les affaires sportives. Les affaires courantes de ladite fédération sont depuis, gérées par un Comité de normalisation qui a récemment fait adopter de nouveaux statuts. À la bonne heure.
Le revenant angolais, le bizuth mauritanien
La CAN 2019 marque le retour de l’Angola, absent des grandes joutes africaines depuis 2013. Pour leur come-back, les Palancras Negras (les antilopes noires) aimeraient faire au moins aussi bien qu’en 2008 et 2010 où ils avaient été jusqu’en quart de finale, leur meilleure performance en Coupe d’Afrique.
De son côté, la Mauritanie effectue son baptême de feu. S’ils arrivent avec le statut de petit poucet, Les Mourabitounes, qui ont côtoyé l’Angola en qualifications (une victoire et une défaite sur la double confrontation), abordent la compétition sans complexe. «On a envie de montrer le foot mauritanien sous un beau visage. Je dis souvent aux joueurs : ‘Soyez ambitieux !’. Même si cela ne sera pas facile, on cherchera à créer la surprise», dixit le sélectionneur Corentin Martins.
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