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«Je ne souhaite à personne ce que j’ai traversé». Guéri de la variole du singe, «les pires douleurs de sa vie», Kyle Planck, un New-Yorkais de 26 ans, regrette le manque de réaction des autorités sanitaires quand les premiers cas sont apparus aux États-Unis.
Ce doctorant en pharmacologie qui étudie les maladies infectieuses a forcément tendu l’oreille au mois de mai quand cette maladie détectée depuis longtemps en Afrique a été annoncée de manière plus inhabituelle en Europe, puis aux États-Unis, en majorité chez des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, même si tout le monde peut la contracter.
«J’étais un peu inquiet que cela nous atteigne ici, d’autant que je fais partie de la communauté LGBTQ+», raconte-t-il lors d’un entretien à l’AFP, dans un parc du quartier du Queens, en face des gratte-ciel de Manhattan qui se dressent de l’autre côté de l’East River.
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