Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
La commission bancaire de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) a annoncé que Ecobank est le groupe bancaire sur le marché en 2023. Le document ajoute que le groupe basé à Lomé est arrivé premier en termes de parts de marchés (9,5% ) et de bénéfice net cumulé provisoire du secteur (15,3%). Selon un rapport publié le 26 juillet dernier, les filiales de banques marocaines occupent collectivement une position dominante dans la région.
Le rapport a précisé que les trois filiales des principaux groupes bancaires marocains (Bank of Africa, Attijariwafa Bank et Banque Centrale Populaire), ont agrégé une part de marché de 20,2% et pratiquement 23% du résultat net global provisoire du secteur. Ce positionnement est à prendre en compte sur un marché où opèrent 56 groupes bancaires à travers 133 établissements (filiales et succursales).
Lire aussi : UEMOA : la BIDC lance le premier emprunt obligataire vert et durable
Cette pôle position, occupée par le groupe, est renforcée sa filiale Ivorienne. Cette dernière est arrivée à la troisième place en termes de ressources (dépôts) collectées et figurait dans le top 5 pour le total de bilan et les crédits accordés à la clientèle en fin 2023. Pour ce qui est des groupes marocains, on retrouve trois filiales dans le top 10 des banques de l’Uemoa, dans un classement dominé par Société Générale Côte d’Ivoire.
L’Uemoa est devenu un marché stratégique pour Ecobank en raison de ses performances solides au cours des trois dernières années. Pour le premier semestre 2024, la sous-région a réalisé le chiffre d’affaires le plus élevé. Celui-ci s’établit à 344 millions de dollars. Le groupe a toutefois enregistré un bénéfice avant impôt de 157 millions de dollars, inférieur à celui de la zone Afrique centrale et australe qui a généré 163 millions de dollars.
En termes de rendement des fonds propres pour le premier semestre 2024, Ecobank a affiché une performance modeste de 26,7%. Cette baisse est attribuée à une augmentation des charges de dépréciation des crédits, causée par une hausse des coûts de crédit en Côte d’Ivoire, son principal marché dans l’Uemoa.
Temps de lecture : 2 minutes
PLF 2025 : pas de changement pour le barème de l’IRLe gouvernement maintient le cap sur la réforme de l’impôt sur le revenu (IR) prévue dans le cadre du projet de Loi de Finances (PLF) 2025. … |
CGEM : les nouveaux outils pour booster l’investissement des entreprisesUne rencontre sous le thème «Les nouveaux mécanismes de financements publics et privés pour booster l'investissement» a eu lieu jeudi à Tang… |
PLF 2025 : priorité au socialLe Projet de Loi de Finances (PLF) 2025, présenté par la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah, à la Chambre des représentant… |
COP29 : Leila Benali souligne la nécessité des incitations transfrontalières pour les projets durablesLa ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, a indiqué que les projets durables demeurent tributaires… |
Le Maroc atteint un nouveau record avec 14,6 millions de touristes à fin octobre 2024Le Maroc a franchi une étape historique en atteignant 14,6 millions de touristes à la fin du mois d’octobre 2024, dépassant ainsi le record … |
Pêche côtière et artisanale : hausse de 6% de la valeur des produits commercialisés à fin octobre (ONP)L'Office national des pêches (ONP) a révélé que les produits commercialisés de la pêche côtière et artisanale ont enregistré, en termes de v… |
Dessalement : cap sur 1,9 milliard m³ d’eau en 2030Le Maroc avec ses 3.500 km de littoral, entreprend un vaste projet de dessalement d’eau de mer, visant à atteindre une production de 1,9 mil… |
Parlement : la Commission des finances adopte à la majorité la première partie du PLF 2025La Commission des finances et du développement économique a adopté, mercredi, à la Chambre des représentants, la première partie du projet d… |