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C’est un discours qui fera date dans l’histoire de la Tunisie. Le 21 février dernier, le président tunisien Kaïs Saïed s’en est pris violemment, dans un discours sur la politique migratoire, aux migrants venus d’Afrique subsaharienne. Ils sont sources «de violence, de crimes et d’actes inacceptables», a-t-il accusé, évoquant même une entreprise «criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie», pour en estomper son caractère «arabo-musulman».
Ce discours violent a eu des répercussions dans la vie de certains de ses migrants, chassés de leur domicile, et a entraîné le départ de centaines d’autres dans leur pays d’origine. Un comportement dénoncé par plusieurs pays comme le Mali ou la Côte d’Ivoire, mais aussi par l’Union africaine.
Cette crise diplomatique intervient alors que l’économie tunisienne fait face à une crise grave. Crise économique, pénurie d’essence et de biens alimentaires, concentration des pouvoirs, le président tunisien Kaïs Saïed concentre toutes les critiques.
Pour La Story, le podcast d’actualité des Echos, Pierrick Fay et Sophie Amsili racontent la dérive autocratique d’un président élu triomphalement dans le sillage du Printemps arabe.
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