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Sur les collines du nord-ouest de la Tunisie, les agriculteurs entretiennent des milliers de figuiers grâce à un système unique qui, espèrent-ils, les protégera des sécheresses persistantes. D’ailleurs, les « jardins suspendus » de Djebba El Olia ont été mis à l’épreuve cette année, alors que le pays a connu le mois de juillet le plus chaud depuis les années 1950. Cette vague de chaleur a exacerbé une longue sécheresse qui a laissé les réservoirs tunisiens à seulement un tiers de leur capacité.
Les jardins suspendus sont alimentés en eau par deux sources situées dans les montagnes. L’eau est acheminée dans les vergers par un réseau de canaux qui sont ouverts et fermés à des moments précis, en fonction de la taille du verger. Il est essentiel de disposer d’une grande variété de cultures pour assurer la résilience et la lutte contre les parasites, contrairement aux monocultures qui dominent l’agriculture moderne et qui nécessitent d’énormes quantités de pesticides pour survivre.
«Nous cultivons des figues, mais aussi des coings, des olives et des grenades, et sous les arbres de ces fruits, nous plantons un large éventail de légumes verts et de légumineuses», explique l’activiste Farida Djebbi. Cette dernière a montré certains des canaux qui irriguent les 300 hectares de vergers en pente raide de la région.
En 2020, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a reconnu ce système comme un exemple d’ »agroforesterie innovante et résiliente », l’ajoutant à une liste d’élite de 67 « systèmes agricoles patrimoniaux d’importance mondiale ».
🇹🇳 Au moment où la sécheresse met en péril les récoltes en Tunisie, des "jardins suspendus" dans un village à 700 mètres d'altitude dans le nord-est de ce pays du Maghreb résistent, grâce à un système unique inscrit au patrimoine agricole mondial #AFP #AFPTV
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— Agence France-Presse (@afpfr) September 20, 2022
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