TICAD : l’Algérie infiltre le Polisario et attaque un responsable marocain

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Lors de la récente réunion préparatoire à Tokyo pour le sommet de la TICAD, un incident diplomatique a éclaté impliquant un membre du Polisario muni de faux papiers, déguisé en diplomate algérien. Cette manœuvre, orchestrée avec le soutien de l’Algérie, visait à intégrer illégitimement ce représentant au sein de l’événement international. Détecté par la vigilante délégation marocaine et rapidement désavoué par la présidence japonaise.

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Propagande et Agression

Dans la salle de réunion, le membre du Polisario, tentant de s’installer discrètement, a exhibé une pancarte de la pseudo «république sahraouie», visiblement différente de celles des autres délégations. Ce geste a été immédiatement capté par les caméras, ajoutant un élément de propagande à cette intrusion. Malgré la mise en scène, la tension a rapidement monté lorsque les autorités japonaises ont rappelé que seuls les États reconnus par les Nations Unies étaient invités à la table des discussions.

🇲🇦🇩🇿🇯🇵#FLASH| Alors que le diplomate marocain tentait juste de retirer la pancarte apportée par un membre du Polisario, un agent algérien l’a attaqué par derrière et sauvagement immobilisé au sol lors du #TICAD. https://t.co/R8DN5fj5Qx pic.twitter.com/yOjTaVGXIu

— Morocco Intelligence (@MoroccoIntel) August 23, 2024

L’incident a pris une tournure plus dramatique lorsqu’un haut responsable algérien a physiquement agressé un membre de la délégation marocaine qui tentait de retirer la pancarte controversée. Cette altercation, au-delà de son aspect choquant, souligne la dégradation de la diplomatie algérienne, qui semble privilégier la confrontation à la conciliation.

Cet événement soulève des inquiétudes tant pour le Japon que pour l’Union africaine, témoignant des difficultés croissantes à maintenir l’ordre et le respect des règles diplomatiques dans des forums internationaux. Il rappelle également le précédent fiasco de la TICAD en Tunisie, où l’invitation controversée du Polisario avait conduit à la regrettable absence du Maroc, soulignant les divisions profondes et les défis diplomatiques persistants au sein des rencontres internationales sur le développement africain.