Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le dialogue social n’est pas gratuit. C’est un fait. Selon Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion, de la Petite entreprise, de l’Emploi et des Compétences, le dialogue social a laissé une empreinte budgétaire substantielle, atteignant près de 27 milliards de dirhams pour l’État, excluant la session d’avril 2024.
Cette affirmation, faite lors d’une réunion à la Fondation Fkih Tétouani à Salé, révèle l’engagement du gouvernement envers l’emploi, placé en tête de liste dans tous les secteurs ministériels.
Sekkouri décompose l’État social en quatre piliers fondamentaux
Le premier étant la protection sociale. Il a souligné le leadership international du Maroc dans ce domaine, avec un investissement annuel d’environ 10 milliards de dirhams pour la généralisation de cette protection.
Les relations de travail, deuxième point, comme un domaine nécessitant une régulation adéquate pour résoudre les problèmes liés aux contraintes économiques et du marché. Les discussions en cours sur la législation du travail s’inscrivent dans cette perspective.
Les services publics constituent le troisième pilier de l’État social. Leur absence étant une source d’aggravation des disparités sociales. Le gouvernement reconnaît cette réalité et s’engage dans des actions concrètes, notamment dans le domaine de l’éducation.
Lire aussi : Dialogue social : SMIG, SMAG et travailleurs au cœur de la discussion avec l’UGTM
Concernant le coût du dialogue social, principalement alloué aux secteurs-clés tels que la santé, l’enseignement supérieur et l’éducation, Sekkouri a souligné l’intention du gouvernement de mener des réformes spécifiques pour renforcer le capital humain dans chaque secteur.
La quatrième composante de l’État social concerne les politiques de soutien à l’emploi, axées sur l’investissement et la médiation. Le gouvernement reste concentré sur l’élaboration de nouvelles politiques visant à encourager et à soutenir l’emploi, une priorité transversale.
Sekkouri a cité le roi Mohammed VI pour illustrer l’engagement royal envers les affaires sociales, soulignant ainsi l’aspect pratique de l’État social.
Temps de lecture : 2 minutes
IPC d’octobre 2024 : lecture des tendancesLe Haut-Commissariat au Plan (HCP) a publié son rapport mensuel sur l’indice des prix à la consommation (IPC) pour le mois d’octobre 2024. C… |
Introduction en bourse de CMGP GroupCMGP Group, acteur majeur dans les domaines de l’irrigation, des agrofournitures, des solutions solaires et de l’infrastructure de l’eau, a … |
FNAC : la crise de la viande rouge persisteMalgré des exonérations fiscales sur les importations de viande rouge, les consommateurs marocains continuent de subir des prix élevés. La F… |
Achraf Fayda, nouveau visage de l’ONMTLe Conseil de gouvernement a officialisé la nomination d’Achraf Fayda comme directeur général de l’Office national marocain du tourisme (ONM… |
SIB : Fatima Ezzahra El Mansouri inaugure la 19e éditionLa 19ᵉ édition du Salon international du bâtiment (SIB 2024) a été inaugurée le 20 novembre 2024 au Parc d'exposition Mohammed VI à El Jadid… |
Huile d’olive : quota sans droit de douane jusqu’à fin 2024Pour pallier la chute notable de la production nationale d’huile d’olive, le gouvernement marocain a instauré une mesure exceptionnelle. Jus… |
Barrage Aït Ziat : livraison avancée en 2025Au cœur de la province d’Al Haouz, les travaux du barrage Aït Ziat progressent à un rythme remarquable, atteignant un taux d’exécution de 71… |
TGR : progression des recettes fiscales des collectivités territorialesLes recettes fiscales des collectivités territoriales (CT) au Maroc ont atteint 35,2 milliards de dirhams (MMDH) à fin octobre 2024, enregis… |