Sécurité spirituelle : la contribution de la Fondation Mohammed VI des Ouléma en Ouganda

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Une conférence scientifique a débuté samedi à Kampala, en Ouganda, mettant en lumière l’action de la Fondation Mohammed VI des Ouléma africains dans la promotion de la sécurité spirituelle sur le continent.

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Promouvoir la sécurité spirituelle en Afrique

Par ailleurs, les intervenants, réunis par la section ougandaise de la Fondation, ont unanimement souligné l’importance vitale de cette stabilité spirituelle pour l’Afrique, tout en louant les efforts de la Fondation pour unir les Ouléma et œuvrer en accord avec la vision du roi Mohammed VI.

De plus, Cheikh Ibrahim Sali, président de la Section de la Fondation en Ouganda, a insisté sur la nécessité d’efforts concertés de divers acteurs pour réaliser la sécurité spirituelle. Dans cette optique, il a salué les programmes de la Fondation visant à renforcer l’enseignement, à préserver le patrimoine africain et à promouvoir les valeurs éthiques et le dialogue interreligieux.

De son côté, Othman Sqalli Houssaini, chargé de mission au sein de la Fondation, a souligné que cette dernière cherche à coopérer avec des parties partageant les mêmes objectifs, sans pour autant se substituer à aucune institution locale.

Quant au Mufti de l’Ouganda, Shaban Mubaje, il a qualifié la Fondation Mohammed VI des Ouléma africains de partenaire essentiel dans la quête de sécurité spirituelle en Afrique, en louant son soutien à la recherche et à la résolution des crises intellectuelles et spirituelles.

Vers une collaboration renforcée

Finalement, la vice-première ministre ougandaise, Lukia Isanga Nakadama, a exprimé la volonté de son pays de coopérer avec le Maroc et de bénéficier de son expérience pour renforcer les liens bilatérauCette rencontre de deux jours visait à promouvoir les valeurs de l’Islam tolérant pour favoriser la stabilité et le développement en Afrique. Animée par des Ouléma du Maroc et de l’Ouganda, elle avait pour objectif de renforcer les relations religieuses et culturelles entre les deux pays, ainsi que de consolider l’identité islamique et la sécurité spirituelle dans la société ougandaise, tout en encourageant l’ouverture à d’autres croyances.