Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
![Santé](https://files.lebrief.ma/uploads/2020/01/11161821/khalid_ait_taleb_1-900x600.jpg)
Temps de lecture : 2 minutes
Le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Khalid Ait Taleb, a abordé le défi de retenir les professionnels de santé dans le pays face à l’attrait croissant des opportunités à l’étranger. Lors d’une séance de questions orales à la Chambre des représentants, il a souligné la nature globale de cette pénurie, où chaque pays tente d’attirer ces professionnels qualifiés.
Khalid Ait Taleb a mentionné que le Maroc a mis en place des lois permettant aux compétences médicales étrangères de pratiquer dans le pays, avec actuellement 435 professionnels étrangers dans le secteur médical privé. Toutefois, il a insisté sur le besoin de stimuler le secteur public pour attirer davantage de ces talents.
En collaboration avec d’autres pays, le ministère cherche à attirer des professionnels étrangers en offrant un environnement de travail adéquat. Parallèlement, il a évoqué l’intérêt de médecins étrangers à exercer au Maroc, à condition que les conditions soient favorables.
Lire aussi : La Haute autorité de la santé : aperçu de sa structure et de ses fonctions
Améliorations et initiatives
Le ministre a aussi parlé de la nouvelle loi sur l’emploi dans le secteur de la santé, qui sera bientôt publiée, et qui vise à rendre le domaine plus attractif. Cette loi, la n°33.21, modifie la loi existante et cherche à attirer plus de médecins étrangers et marocains expatriés.
Il a également souligné les progrès réalisés dans le secteur de la santé depuis la pandémie de la Covid-19, notamment l’augmentation significative du nombre de lits en réanimation. Il a affirmé que les ressources humaines sont essentielles pour l’avancement du système de santé et que les nouveaux postes offrent de nombreux avantages.
En conclusion, le ministre a réitéré l’engagement de l’État à renforcer le secteur public de la santé, soulignant que la focalisation exclusive sur le secteur privé engendrerait des coûts élevés et pourrait compromettre les initiatives de protection sociale.
Temps de lecture : 2 minutes
Augmentation de 94% des allocations du domaine privé de l’État en 2023En 2023, une superficie de 310 hectares du domaine privé de l’État a été allouée aux administrations publiques. Ce qui représente une valeur… |
RGPH 2024 : coordination entre le ministère de l’Intérieur et le HCPUne réunion dédiée aux préparatifs du Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH 2024) s’est tenue ce jeudi au siège du mini… |