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Dans un communiqué conjoint, trois associations représentant respectivement les directeurs d’établissements publics, les surveillants généraux et les proviseurs, ont exprimé leur ferme intention de ne pas exercer leurs fonctions, à l’exception de l’attribution des diplômes. Cela signifie que le traitement de la correspondance et les réunions des comités de suivi de la rentrée scolaire pourraient être sérieusement perturbés. Cependant, les cadres administratifs continueront d’élaborer les programmes de cours et de publier les listes de classe.
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Divergences dans les approches
De leur côté, les directeurs d’établissements et les surveillants généraux envisagent d’interrompre complètement leur travail, sans faire d’exceptions. Ce désaccord au sein du personnel administratif souligne la profonde frustration qui prévaut dans le secteur, quelques jours avant la rentrée scolaire.
Pour intensifier leur protestation, les cadres administratifs prévoient aussi des sit-in à partir du 14 septembre devant les académies régionales. De plus, une manifestation est planifiée devant le siège du ministère de l’Éducation nationale. Ces actions pourraient entraîner de nouveaux bouleversements dans un système éducatif déjà très pénible.
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Les revendications à l’origine du conflit
Selon les cadres administratifs, leur démarche intervient après des prélèvements sur salaire « injustifiés ». Ils déplorent aussi des retards aberrants en matière de promotions. De plus, leur opposition au Statut unifié des fonctionnaires de l’Éducation nationale, actuellement en cours de préparation par le ministère, alimente les tensions.
La rentrée scolaire s’annonce donc tendue en raison de ces conflits internes au sein du personnel administratif. Elle suscite des préoccupations quant à son impact sur l’éducation nationale et sur la stabilité des écoles et lycées. Il reste à voir si un dialogue constructif sera engagé pour résoudre ces problèmes avant que la rentrée ne soit compromise.
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