Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
![Rentrée scolaire](https://files.lebrief.ma/uploads/2023/05/24144850/education-Maroc-900x507.jpg)
Temps de lecture : 3 minutes
Dans un communiqué conjoint, trois associations représentant respectivement les directeurs d’établissements publics, les surveillants généraux et les proviseurs, ont exprimé leur ferme intention de ne pas exercer leurs fonctions, à l’exception de l’attribution des diplômes. Cela signifie que le traitement de la correspondance et les réunions des comités de suivi de la rentrée scolaire pourraient être sérieusement perturbés. Cependant, les cadres administratifs continueront d’élaborer les programmes de cours et de publier les listes de classe.
Lire aussi : Rentrée scolaire : Chakib Benmoussa fait le point sur les préparatifs
Divergences dans les approches
De leur côté, les directeurs d’établissements et les surveillants généraux envisagent d’interrompre complètement leur travail, sans faire d’exceptions. Ce désaccord au sein du personnel administratif souligne la profonde frustration qui prévaut dans le secteur, quelques jours avant la rentrée scolaire.
Pour intensifier leur protestation, les cadres administratifs prévoient aussi des sit-in à partir du 14 septembre devant les académies régionales. De plus, une manifestation est planifiée devant le siège du ministère de l’Éducation nationale. Ces actions pourraient entraîner de nouveaux bouleversements dans un système éducatif déjà très pénible.
Lire aussi : Rentrée scolaire, à quel prix ?
Les revendications à l’origine du conflit
Selon les cadres administratifs, leur démarche intervient après des prélèvements sur salaire « injustifiés ». Ils déplorent aussi des retards aberrants en matière de promotions. De plus, leur opposition au Statut unifié des fonctionnaires de l’Éducation nationale, actuellement en cours de préparation par le ministère, alimente les tensions.
La rentrée scolaire s’annonce donc tendue en raison de ces conflits internes au sein du personnel administratif. Elle suscite des préoccupations quant à son impact sur l’éducation nationale et sur la stabilité des écoles et lycées. Il reste à voir si un dialogue constructif sera engagé pour résoudre ces problèmes avant que la rentrée ne soit compromise.
Lire aussi : Statut unifié des enseignants : une rentrée scolaire en eaux troubles
Temps de lecture : 3 minutes
Santé : les professionnels repartent pour une nouvelle semaine de grèveC’est le début d’une nouvelle semaine de grève. La Coordination des syndicats du secteur de la santé a annoncé une grève nationale de cinq j… |
Tanger : six arrestations pour conduite dangereuse captée sur vidéoLa préfecture de police de Tanger a réagi avec une grande diligence à une vidéo publiée sur les réseaux sociaux montrant des individus condu… |
Baccalauréat 2024 : un taux de réussite de 79,4% après les rattrapagesAprès la fin de la session de rattrapage des examens du baccalauréat, le ministère de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports a … |
Lydec réagit au déversement d’eaux parasites à la plage d’Oued MerzegLydec a annoncé la découverte d’un déversement d’eaux parasites au niveau de l’exutoire des eaux pluviales de la plage d’Oued Merzeg dans la… |
Vague de chaleur (42-46°C) attendue dans le Royaume de dimanche à mercredi,La direction générale de la météorologie (DGM), a annoncé qu'une vague de chaleur de niveau de vigilance « orange » est prévue, de dimanche … |
Justice : un ancien bâtonnier écope de cinq ans de prison fermeL’ancien bâtonnier de Rabat, Mohamed Ziane, a été reconnu coupable par la Cour d'appel de Rabat de « dilapidation de deniers publics » dans … |
HCP : Ahmed Lahlimi Alami présente les innovations du recensementLe Maroc se prépare activement pour le septième recensement général de la population et de l'habitat prévu du 1er au 30 septembre 2024. Pour… |
Pluies d’été : les précipitations par villeCes derniers jours, le Maroc a été frappé par une augmentation des températures, accompagnée d'orages dans les montagnes de l'Atlas et les p… |