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La presse arabophone (hebdos) du samedi 27 juillet 2024
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Un quart de siècle de quatre siècles | Un quart de siècle de bonne gouvernance | El Himma, pierre angulaire de l’État profond | L’Algérie vend Tindouf à l’Iran et au Hezbollah pour se venger du Maroc | Le rugissement de l’Atlas |
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AL OUSBOUE : Un quart de siècle sur quatre siècles. Au début de son règne, il a été surnommé le «roi des pauvres». Et à mesure que le temps passait, il est devenu le roi des grands chantiers qui ont changé le visage du Maroc en seulement 25 ans. Mohammed VI est le roi alaouite qui a su mettre en commun l’expérience de ses ancêtres depuis quatre siècles et les aspirations de la modernité qui aujourd’hui requiert l’intelligence artificielle. Et son règne se poursuit.
AL ALAM AL OUSBOUÏ : Un quart de siècle de bonne gouvernance. 25 ans après l’accession au trône du Roi, il est impossible de nier sa grande influence sur la réalité du Maroc et sur son chemin vers le progrès et la transformation du pays. Résistance de l’économie nationale, chantier de la protection sociale, investissement dans les infrastructures de base… Le règne de Mohammed VI a vu l’introduction de réformes radicales dans les domaines politique, économique et social, conduisant à une croissance et un développement remarquables. En parallèle, ce sont aussi 25 ans de diplomatie empreinte de sagesse et de bonne gouvernance que le Souverain a opéré.
LISSANE AL MAGHRIB : El Himma, pierre angulaire de l’État profond. Dans cet entretien, le professeur de géographie politique à l’Université Hassan II de Casablanca, Mustafa Yahiaoui, offre une lecture de la scène politique marocaine des 25 dernières années. L’universitaire soutient que le conseiller royal Fouad Ali El Himma est l’un des porte-parole de l’État profond. Yahiaoui a estimé que l’État profond au Maroc ne comprend pas de personnel militaire et de sécurité. Décrivant les facteurs qui ont produit les résultats des élections du 8 septembre 2021, l’intervenant a souligné que l’arène politique ne dispose d’aucune alternative au RNI, y compris à ses deux alliés au sein du gouvernement, PAM et Istiqlal.
AL WATAN : L’Algérie vend Tindouf à l’Iran et au Hezbollah pour se venger du Maroc. La visite du Libanais Qassem Hadraj, proche du Hezbollah, dans les camps de Tindouf, a remis sur les devants de l’actualité que l’État algérien et les «marionnettes du Polisario» s’appuient sur des recettes chiites pour faire plier le Maroc. Plus grave, Qassem Hadraj, l’un des «corbeaux de guerre du Hezbollah», écrit le journal, a déclaré : «Je suis honoré que vous m’acceptiez comme résistant sahraoui à vos côtés. Si votre main est limitée, la mienne est disponible, utilisez-la. Et si votre voix est limitée, ma voix résonnera dans la ciel du Liban en soutien à cette cause». Cet incident révèle que Rabat n’a pas «inventé» l’accusation selon laquelle les soldats de Hassan Nasrallah auraient fourni un soutien militaire et logistique au Front Polisario.
AL MOUNTAKHAB : Le rugissement de l’Atlas. Sous le coup du choc, les Argentins se sont inclinés face aux Lionceaux de l’Atlas lors d’un match inaugural du tournoi de football des Jeux olympiques qui restera à jamais dans les annales de l’Histoire. Le «Tango» a trébuché devant la performance de l’Atlas qui s’est imposée par son rythme et son style. Le Maroc a dominé avec deux buts à un. Et même lorsque l’arbitre a tenté d’offrir à la sélection argentine un cadeau non mérité, l’«intervention divine» est intervenue et a rendu justice aux Marocains.