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La presse arabophone (hebdos) du samedi 14 septembre 2024
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La pension, une obligation pour les femmes après le divorce | Comment la corruption empêche-t-elle le Maroc d’accéder au club des pays développés ? | Dans le cas où «l’oncle Trump» perd, Harris fera entrer le Maroc dans un sombre tunnel
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AL MICHAAL : La pension, une obligation pour les femmes après le divorce. Le ministre de la Justice a récemment fait une déclaration qui est loin d’être passée inaperçue. Abdellatif Ouahbi a proposé une réforme qui pourrait bouleverser le divorce : après le divorce, les femmes seraient tenues, dans certains cas, de verser une pension alimentaire à leur époux. Dans une entrevue avec la chaîne 2M, Ouahbi a affirmé que cette initiative vise à aligner les responsabilités financières sur la réalité économique des couples d’aujourd’hui. Car si la femme gagne plus que son mari, il est logique, selon Ouahbi, qu’elle participe financièrement au même titre que l’homme.
AL WATAN : Comment la corruption empêche-t-elle le Maroc d’accéder au club des pays développés ?. En 1982, Abdellatif Jouahri, à l’époque ministre des Finances, a déclaré dans une entrevue avec Le Matin que «la corruption a gagné du terrain dans le pays à tel point qu’elle est devenue ancrée dans les coutumes et les habitudes (…) la lutte contre ce phénomène doit impérativement émaner d’une volonté politique qui imprègne toutes les couches de la pyramide». Et aujourd’hui après 41 ans, la corruption continue de révéler les dysfonctionnements de la société marocaine dans sa globalité. Ceci malgré que le pays ait œuvré à ce que le système judiciaire et autres institutions de contrôle jouent leur plein rôle.
AL OUSBOUE : Dans le cas où «l’oncle Trump» perd, Harris fera entrer le Maroc dans un sombre tunnel. La course à la Maison Blanche bat son plein. Alors que le républicain Donal Trump, qui avait reconnu la marocanité du Sahara lors de son mandat présidentiel, et la démocrate Kamala Harris, la version féminine de Barack Obama, s’affrontent dans une campagne présidentielle tendue, cette dernière a choisi d’adresser un message pour le moins inquiétant. L’actuelle vice-présidente a annoncé son intention de se rapprocher de la «position algérienne» qui va à l’opposé des intérêts du Royaume. Et avec la réélection de Tebboune à la tête de l’État algérien, l’inquiétude augmente dans le cas où Trump échouerait et Harris sortirait victorieuse le 7 novembre prochain.