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La presse arabophone du 4 décembre 2019

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Vous pouvez retrouver diverses informations et nouvelles, « Santé : le ministère dépense des milliards pour acheter des médicaments périmés », « PLF : l’article 9 refait parler de lui », « L’ambassadeur de la Grande-Bretagne au Maroc fait l’éloge du royaume », « CNOPS : du nouveau dans l’affaire », « Kénitra : Saisie de produits chimiques utilisés dans la fabrication d’explosifs », « Bras de fer entre le Maroc et l’UNESCO », « PLF : le médiateur du royaume refuse l’article 9 », « Avortement : le conseil supérieur des oulémas donne son avis ».

ASSABAH : Santé : le ministère dépense des milliards pour acheter des médicaments périmés. Rachid Hamouni, membre du groupe parlementaire du PPS, a accusé des entreprises pharmaceutiques et des groupes de pression d’avoir joué d’influence auprès de responsables du ministère de la santé. Il a demandé l’ouverture d’une enquête au sujet des médicaments périmés que le ministère à l’habitude d’acheter pour approvisionner les hôpitaux.



 



PLF : le PJD s’est abstenu de voter pour l’article 9. Lundi, le groupe parlementaire du PJD à la Chambre des conseillers, a mené une guerre sans merci contre la majorité gouvernementale, lorsqu’il s’est abstenu de voter en faveur l’article 9 du projet de loi de finances 2020. Des sources du journal ont déclaré que les parlementaires de la majorité étaient surpris par la position des parlementaires du PJD qui se sont abstenus de voter pour cette loi qui a déjà fait couler beaucoup d’encre.



 



 



AKHBAR : L’ambassadeur de la Grande-Bretagne au Maroc fait l’éloge du royaume. L’Ambassadeur de Grande-Bretagne au Maroc a déclaré que son pays considère le Maroc comme sa porte d’entrée vers les pays africains. Dans son entretien avec Al Akhbar, Thomas Reilly a expliqué que le Maroc était riche en opportunités, ajoutant : « Nous travaillons à l’ambassade pour présenter aux investisseurs britanniques les opportunités d’investissements disponibles et pour les encourager à investir au Maroc.



 



AL-MASSAE : CNOPS : du nouveau dans l’affaire. Dans le quotidien, on lit que le parquet s’est saisi de l’affaire du CNOPS, après que plusieurs partis aient déposé des plaintes. Le parquet général pourrait donc convoquer l’ancien président de la caisse ainsi que l’ancien ministre de l’économie afin d’avoir leurs points de vue au sujet de cette affaire. Cette affaire risque de faire couler beaucoup d’encre.



 



Kénitra : Saisie de produits chimiques utilisés dans la fabrication d’explosifs. Dans le même journal, nous lisons que la direction régionale de la gendarmerie royale à Kénitra est sur le qui-vive après la saisie d’énormes quantités de produits chimiques dangereux utilisés dans la fabrication d’explosifs. Une équipe technique du commandement régional et des agents des douanes se sont rendus sur les lieux pour superviser les enquêtes.



 



 



AKHBAR-AL-YOUM : Bras de fer entre le Maroc et l’UNESCO. Certains des grands projets modernes construits par les autorités marocaines à Rabat ne plaisent pas à l’UNESCO. Il s’agirait notamment du projet de la « tour Mohammed VI », selon des données publiées par l’agence de presse espagnole EFI. Selon la même source, les autorités marocaines auraient dû informer à l’avance l’UNESCO au sujet des chantiers qui seront construits dans cette ville, considérée comme patrimoine de l’Humanité depuis 2012.



 



PLF : le médiateur du royaume refuse l’article 9. Lors d’une conférence, le médiateur du royaume a exprimé son refus de l’article 9 du PLF 2020. Il considère que tous les citoyens ainsi que tous les organismes doivent être sur le même pied d’égalité devant la justice. Rappelons que ce projet de loi est actuellement devant le parlement.



 



 



AHDATH : Avortement : le conseil supérieur des oulémas donne son avis. Le Conseil supérieur des Oulémas a livré son avis au sujet de la question de l’avortement. Il a notamment expliqué que les articles du Code pénal relatifs à cette question ne connaîtront aucune modification hormis ce que pourrait exiger l’intérêt public et ce que permet la jurisprudence.


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