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Le 2 février dernier, Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères russes, a affirmé que la Moldavie «pourrait suivre le même chemin que l’Ukraine». De quoi inquiéter les autorités moldaves, dont une partie du territoire, la Transnistrie, est séparatiste et accueille des troupes russes.
L’espace aérien moldave a même été fermé quelques heures, le 14 février, par crainte d’un coup d’État mené par des «saboteurs ayant reçu une formation militaire et habillés en civils», a précisé Maia Sandu, la présidente moldave. Moscou en a remis une couche en prétendant que l’Ukraine prévoyait des provocations armées dans l’enclave séparatiste prorusse. Vladimir Poutine a aussi révoqué un décret de 2012 dans lequel la Russie s’engageait à respecter l’intégrité territoriale moldave. Tous les signaux diplomatiques sont donc au rouge.
Entre la pression par le gaz pour alimenter le mécontentement de la population, le noyautage de l’opposition et les campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux, la Russie a accentué les opérations de déstabilisation en Moldavie depuis que le pays a obtenu le statut de candidat à l’Union européenne.
Florent Parmentier, politologue spécialiste de la Moldavie, et Michael Eric Lambert, analyste renseignement et spécialiste de la Transnistrie, décryptent les causes et les enjeux qui entourent ces tensions grandissantes.
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