Parution de l’ouvrage « Le Sultan bâtisseur: un quart de siècle de chantiers et de dévouement » de Youssef Chihab

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Le sociologue (et Docteur en sociologie politique et en politique comparée de l’Université Paris Ouest Nanterre) Youssef Chihab vient de publier un ouvrage intitulé « Le Sultan bâtisseur : un quart de siècle de chantiers et de dévouement », qui dresse un bilan des réalisations majeures du roi Mohammed VI au cours des 25 premières années de son règne.
L’ouvrage, publié aux Editions Bouregreg, met en lumière les réformes et les grands projets qui ont façonné le Maroc moderne, notamment dans les domaines économiques, sociaux et politiques.

Dans son analyse, Chihab souligne l’importance du leadership du Roi, un souverain visionnaire qui a su mener son pays vers un avenir meilleur malgré les différents défis. Il évoque un Maroc qui, bien que dépourvu de grandes ressources naturelles, a fait de sa diversité humaine et culturelle un atout pour son développement.

La préface du ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, rappelle que l’ouvrage n’est pas un bilan exhaustif, mais une reconnaissance des grandes étapes franchies sous le règne de Mohammed VI. Il met en avant l’engagement du Roi pour le bien-être de ses citoyens et la légitimité du pouvoir monarchique. Selon lui, ce livre reflète l’abnégation et l’attachement du Souverain à son peuple.

L’ouvrage est divisé en huit grandes thématiques qui analysent les projets clés du Royaume sous Mohammed VI : la démocratie en marche continue avec réformes politiques visant à renforcer les institutions démocratiques, comme en témoigne la révision de la Constitution en 2011, qui a permis un rééquilibrage des pouvoirs tout en préservant la stabilité du régime monarchique.

La consolidation de l’unité nationale dans un pluralisme cohérent, qui traite de l’unité nationale, en valorisant les diversités culturelles du Maroc, notamment par la reconnaissance de la culture amazighe et la promotion d’un islam modéré, garantissant ainsi la cohésion sociale dans un cadre pluraliste.

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Le rééquilibrage social, un des chantiers majeurs du règne où les politiques sociales mises en place ont permis une réduction des inégalités, avec des investissements dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’accès aux services de base, visant à améliorer les conditions de vie des citoyens, notamment dans les zones rurales.

La croissance économique que le Maroc a amorcé grâce à un processus de diversification économique, visant à créer une croissance inclusive qui bénéficie à tous, avec un accent sur les secteurs stratégiques comme les énergies renouvelables, l’industrie et le tourisme.

Les infrastructures de transport aux normes internationales pour un Maroc connecté à l’instar des projets majeurs tels que le TGV reliant Tanger à Casablanca, des autoroutes modernes et des aéroports internationaux, renforçant ainsi sa connectivité et son intégration économique régionale et internationale.

Les infrastructures de base qualifiées pour les agglomérations de demain via des investissements massifs qui ont été réalisés pour moderniser les infrastructures urbaines, telles que l’assainissement, l’approvisionnement en eau et l’électricité, tout en développant des projets de villes nouvelles et durables pour accompagner l’urbanisation croissante du Royaume.

La garantie d’un avenir meilleur par la mise en place des initiatives pour garantir un avenir prospère, notamment à travers l’investissement dans l’éducation, l’innovation, et le soutien à l’entrepreneuriat, en particulier pour la jeunesse, afin de préparer le pays aux défis du futur.

Puis enfin, la consolidation de l’identité nationale, en valorisant son patrimoine culturel, en promouvant la tolérance religieuse et en préservant les valeurs traditionnelles tout en intégrant les défis modernes dans le processus de développement.