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Plusieurs Organisations non gouvernementales (ONG) kényanes et internationales ont alerté sur "l'augmentation des niveaux d'informations fausses ou trompeuses" sur les réseaux sociaux au Kenya lors des élections présidentielles. Les tensions montent au Kenya à l'heure du dépouillement. La propagation de la désinformation durant l'attente des résultats de l'élection présidentielle demeure inquiétante. Il s'agit de l'élection la plus serrée de l'histoire du pays. ⇒ lire l'article

Deux membres des forces de sécurité ont été frappés à mort mercredi, lors d'une manifestation contre la vie chère à Freetown. Des émeutes s'en sont suivies. Suite à ces événements, le gouvernement a instauré un couvre-feu entre 15h et 7h du matin. ⇒ lire l'article

Le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, a exprimé de «graves inquiétudes» sur la question des droits de l'Homme au Rwanda lors de discussions à Kigali avec le président Paul Kagame, au dernier jour de sa tournée africaine. Il a notamment évoqué les efforts déployés pour apaiser les tensions entre le Rwanda et la RDC, en raison d'allégations selon lesquelles les deux gouvernements soutiennent des rebelles opposés l'un à l'autre. ⇒ lire l'article

Le chef d'État tunisien avait révoqué 57 magistrats le 1ᵉʳ juin dernier par décret présidentiel. Cependant, le tribunal du pays a suspendu, ce mercredi, la révocation de ces magistrats. Cette action avait été dénoncée par plusieurs ONG, dont Human Rights Watch (HRW) et Amnesty International. Ces dernières l'ont qualifiée d’"attaque directe contre l’État de droit". ⇒ lire l'article

Vladimir Poutine, président de la Russie, et le colonel Assimi Goïta, président de transition du Mali, se sont entretenus par téléphone ce mercredi 10 août. Ils ont échangé sur la livraison de denrées alimentaires, d’engrais et de carburant. Le même jour, et dans le cadre d’une cérémonie présidée par Goïta, l’armée malienne a reçu cinq avions de chasse, un hélicoptère de combat et d’autres équipements militaires en provenance de Russie. Selon le dirigeant malien, la stabilité de son pays passe d’abord par la lutte contre les groupes terroristes, et ce, avec l’aide du partenaire russe. ⇒ lire l'article

Accusé de mettre en péril la paix publique et le vivre-ensemble en Guinée, le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) a été dissous par le gouvernement de la transition. Cet important collectif, qui s'oppose depuis plusieurs mois à la junte au pouvoir en Guinée, préparait pourtant une manifestation le 17 août sur l'ensemble du territoire guinéen. ⇒ lire l'article

Lors d'une conférence de presse à Kinshasa, Antony Blinken a déclaré que les États-Unis sont "préoccupés" par des informations "crédibles", selon lesquelles le Rwanda soutiendrait une rébellion dans l'est de la République démocratique du Congo. ⇒ lire l'article

Plus de 22 millions d’électeurs kényans ont été appelés aux urnes, le mardi 9 août, pour désigner le candidat qui succèdera à Uhuru Kenyatta, président du Kenya depuis 2013. Alors que quatre candidats sont en lice, seuls deux d’entre eux disposent d’une large popularité. Il s’agit de Raila Odinga, importante figure de l’opposition, et de William Ruto, vice-président et numéro 2 du gouvernement actuel. Le vainqueur devra obtenir plus de 50% de voix et plus de 25% des voix dans la moitié des 47 comtés du pays. Si ces conditions ne sont pas remplies, un second tour sera organisé dans les 30 jours à venir. ⇒ lire l'article

La pandémie de la Covid-19 a réduit un «espace budgétaire déjà limité» dans les pays africains, ont indiqué lundi les Nations Unies, soulignant que l’urgence sanitaire a parfois conduit à négliger certains services publics. La corruption, la pauvreté, les inégalités et la compétition pour les ressources naturelles sont, entre autres, les facteurs qui ont entrainé cette situation, selon Cristina Duarte, conseillère spéciale du secrétaire général pour l’Afrique. ⇒ lire l'article

Les autorités libyennes avaient arrêté en 2016 320 personnes présumées affiliées à Daech. Parmi ces dernières, 56 se sont présentées devant le tribunal pour la première fois ce lundi 8 août. Selon les avocats chargés de l’affaire, ces terroristes présumés seront jugés pour deux crimes : l’appartenance à une organisation terroriste et le meurtre de combattants lors de l’opération al-Bunyan al-Marsous. Notons que Daech avait profité de l’instabilité politique de la Libye depuis 2011 pour s’emparer de la ville de Syrte en 2015. L’organisation a contrôlé cette ville pendant plusieurs mois, avant que les autorités locales aient réussi à la reprendre grâce au soutien de l’armée américaine. ⇒ lire l'article