Bonsoir,
Au Maroc, entre chaleur ici et neige là, les conditions météorologiques actuelles provoquent une grande variété d’événements climatiques. Ces fluctuations exacerbées soulèvent une question plus large : les changements climatiques sont-ils responsables de ces variations extrêmes ? Mohamed Belouchi, météorologiste, nous offre un éclairage sur cette situation complexe, en expliquant l’impact des facteurs climatiques mondiaux sur le Maroc et la nécessité d'adapter nos infrastructures et nos comportements face à l'incertitude climatique.
Le Maroc s’engage dans une démarche ambitieuse de régulation des cryptomonnaies, un secteur en pleine expansion. Mais au-delà des enjeux numériques, le pays met aussi en lumière les risques climatiques et les défis géoéconomiques qui affectent la stabilité financière. Dans ce contexte, Bank Al-Maghrib (BAM) a lancé un projet de loi visant à encadrer les cryptomonnaies tout en intégrant les préoccupations liées aux risques climatiques dans ses politiques financières. Ces mesures témoignent de la capacité du Maroc à anticiper les évolutions économiques mondiales et à y répondre de manière proactive.
Enfin, le Royaume poursuit une gestion proactive et stratégique de sa dette publique, avec des perspectives encourageantes à moyen terme. Le dernier rapport du Fonds monétaire international (FMI), a révélé que le ratio de la dette a baissé à 69,5% du PIB en 2023, après avoir atteint 71,5% en 2022. Cette régression est due à une croissance nominale du PIB de 10%, soutenue par une reprise de la croissance réelle à 3,4% et une inflation mesurée par le déflateur du PIB (6,4%). Selon les projections du Fonds, ce ratio devrait continuer à diminuer pour atteindre 68,3% en 2025, 67,2% en 2026 et 65% en 2029. Ces chiffres reflètent une gestion rigoureuse des finances publiques et d’une résilience économique face à des défis structurels et climatiques.
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