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Le Hajj est fini pour plus d’1,8 million de personnes en cette année 1445 de l’Hégire. Mais ce pèlerinage se termine sur une sombre note : à cause de la canicule, plus de 900 pèlerins ont péri cette année. Plusieurs autres sont portés disparus et leurs familles les recherchent désespérément. Le manque d'infrastructures adéquates pour certains participants sans permis officiel, en raison de son coût élevée, ont exacerbé les difficultés et les risques pour de nombreux musulmans tentant d’accomplir le voyage de toute une vie.
Voilà une belle promesse : assurer une protection sociale pour tous les Marocains. Impulsé par une volonté royale, le Royaume s’engage résolument dans cette généralisation. Le gouvernement est là pour matérialiser le chantier. Car cette réforme est urgente. Elle est aussi ambitieuse : intégrer 22 millions de nouveaux bénéficiaires à l’assurance maladie obligatoire, étendre les allocations familiales à 7 millions d’enfants scolarisés, et augmenter le nombre de bénéficiaires de pensions de retraite à 5 millions de personnes supplémentaires. Face à cela, plusieurs défis sont à surmonter : la restructuration des services, l’extension de l’assurance maladie, ou encore la mobilisation de ressources. Ces éléments, mis en lumière par le Policy Center for the New South (PCNS) et l’Agence française de développement (AFD) lors de l’événement sous le thème «Protection sociale : solutions pour une couverture sanitaire universelle, durable et efficace», nécessitent donc une stratégie coordonnée. Mais quels en sont les facteurs de réussite ?
Place au sport… La saison estivale incite naturellement aux activités sportives, à l’air libre de préférence. Certains iront sur des pratiques douces au moment où d’autres privilégieront l’intense, voire l’extrême. Et dans ce registre, de plus en plus de Marocains se tournent vers le parapente. Cet aéronef dérivé du parachute, permettant la pratique du vol libre, connaît depuis quelques années un succès fulgurant dans le Royaume, principalement dans les régions d’Al Haouz ou encore de Tiznit/Sidi Ifni. Mais face à des défaillances, le secteur informel s’est développé au point d’atteindre des proportions incontrôlables. Des entrepreneurs motivés uniquement par le gain rapide et facile d’argent, mais ne disposant ni de qualifications attestées par des brevets ou diplômes ni d’assurances en bonne et due forme, ont aujourd’hui la main sur l’essentiel de cette activité. Pour la Fédération royale marocaine de l’aviation légère et sportive, la situation est préoccupante d’autant plus que l’activité est dangereuse. Mais où se trouve exactement le problème ?
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