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Dans les années 1920, Hemingway est devenu un aficionado de l’art de la tauromachie après avoir assisté aux fêtes de San Fermín de Pampelune qui sert de cadre au roman “Le soleil se lève aussi”.
Dans “Mort dans l’après-midi”, il discute de la métaphysique de la tauromachie, l’associant à un rituel, presque à l’égal d’une cérémonie religieuse, point de départ pour l’écrivain d’une interrogation sur l’essence de la vie et de la mort.
«La queue du taureau se dressa, sa tête se baissa. Il chargea, et, quand il atteignit Hernandorena, l’homme agenouillé fut enlevé d’un bloc, balancé en l’air comme un paquet, les jambes alors dans toutes les directions, puis retomba à terre. Le taureau le chercha du regard, aperçut une cape largement déployée agitée par un autre torero et fonça sur elle. Hernandorena se leva, avec du sable sur son visage blanc, et chercha après son épée et l’étoffe. Quand il se mit debout, je vis, dans la soie lourde et le gris maculé de ses culottes de location, une ouverture nette et profonde par où l’on voyait le fémur à nu depuis la hanche et presque jusqu’au genou.»
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