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Le Centre marocain de conjoncture (CMC) vient de publier son dernier numéro spécial, « Maroc Conjoncture » n° 361, axé sur les opportunités et l’impact des futurs événements sportifs sur le pays. Ce numéro se concentre sur six grands axes, dont l’instabilité du cycle de croissance pour 2024, les perspectives économiques de redressement en 2024, et l’impact prévu des événements sportifs majeurs tels que la Coupe du monde 2030 et la CAN 2025 sur différents secteurs, notamment le transport, le tourisme et le BTP.
Selon le CMC, la conjoncture actuelle demeure volatile et imprévisible, entravant les orientations stratégiques de développement des économies mondiales. Après les répercussions négatives atténuées de la pandémie, les tensions russo-ukrainiennes ont entraîné une flambée des prix des matières premières et des denrées alimentaires.
En ce qui concerne l’économie nationale, la publication souligne la résilience du Maroc face aux impacts dévastateurs du tremblement de terre et à un contexte international chaotique.
Malgré des ajustements à la baisse, les prévisions de croissance demeurent positives, atteignant respectivement 3,7% et 4,3% pour 2023 et 2022, d’après le rapport du CMC.
L’article se penche également sur la candidature conjointe du Maroc, de l’Espagne et du Portugal pour accueillir la Coupe du Monde de la FIFA en 2030. Cette initiative transfrontalière, motivée par la passion commune pour le football, est perçue comme une opportunité pour transformer le paysage sportif, touristique et industriel du Maroc et de la péninsule ibérique.
Plus qu’un événement sportif, cette candidature annonce une ère de prospérité socio-économique, de croissance des infrastructures et de dynamisme dans le secteur du BTP. Les retombées attendues de la CAN 2025 et du Mondial 2030 sur le transport sont également évoquées, avec la perspective d’attirer des millions de visiteurs internationaux.
Le CMC met en lumière les préparatifs dans tous les modes de transport, de l’aérien au ferroviaire en passant par le maritime, pour accueillir cet afflux de visiteurs.
En ce qui concerne le tourisme, après la crise de la Covid-19, le secteur a lentement retrouvé sa vigueur, soutenu par les efforts des gouvernements mondiaux. Bien que la croissance actuelle soit modeste, les investissements en cours pourraient propulser le taux de croissance au-delà de 5,5% par an d’ici 2030, estime le CMC.
L’avenir économique du Maroc semble ainsi prometteur, avec des fondations plus solides pour une croissance soutenue, notamment grâce aux investissements dans la transition énergétique et la construction d’infrastructures.
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