Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Volodymir Zelensky sait ce qu’il veut, et il ne craint pas de le dire haut et fort. Hier à Chisinau, devant les dirigeants de 47 États européens, le président ukrainien a demandé qu’on lui ouvre les portes de l’OTAN, et qu’on le fasse dès 2023. «C’est l’année de la décision», a-t-il ajouté devant un impressionnant parterre de chefs d’État et de gouvernement réunis tout près de son pays en guerre.
Mais les poids lourds de l’organisation, à commencer par les États-Unis, reconnaissent le droit de l’Ukraine à adhérer, mais sont plus que réticents. Ils explorent la piste de garanties de sécurité accordées à l’Ukraine, pays en guerre, avant son adhésion à une organisation qui compte dans sa charte l’article 5. Cet article est celui qui définit la solidarité automatique avec un État-membre agressé.
Les États-Unis, mais aussi l’Allemagne, et jusqu’à récemment la France qui a commencé à bouger, redoutent de se trouver entraînés sans l’avoir voulu dans un affrontement direct avec la Russie. Depuis quinze mois, ils prennent bien soin de calibrer leur implication pour ne pas devenir «cobélligérants», ce qui ne les empêche pas d’armer l’Ukraine.
D’ici au sommet de l’OTAN à Vilnius, le mois prochain, les États-Unis et leurs alliés doivent trouver une réponse à la demande pressante de l’Ukraine et de ses amis en Europe de l’Est.
https://open.spotify.com/episode/4Bobs31F7Mhn3cFfK50XqA?si=lX9UAzAOTwOHNPxhXapdiA&nd=1
Temps de lecture : 2 minutes
La colonisation de Mars aura-t-elle lieu ?La colonisation de Mars par l’être humain, c’est-à-dire l’installation d’une communauté humaine autonome sur cette planète, est un thème… |
Comment les abeilles communiquent-elles ?Une colonie d’abeilles ne peut exister sans une reine, unique abeille féconde. Cette dernière, une femelle adulte accouplée qui vit dans… |