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Si vous êtes connecté à Internet, vous avez certainement déjà rencontré ou partagé des mèmes. Qu’ils prennent la forme de GIF ou de photos accompagnées de légendes humoristiques en majuscules, ces phénomènes rencontrent toujours un vif succès en ligne. Qu’il s’agisse du célèbre facepalm du capitaine Picard, des lolCats, du fameux «Shut up and take my money», du mème «J’suis pas venu pour souffrir», ou encore de John Travolta perdu, ces créations détournent avec humour divers sujets, souvent liés à l’actualité ou à la culture. Cet humour viral, très référencé et souvent teinté de second, voire troisième degré, trouve son terrain de prédilection sur la toile. Bien que le terme «mème» soit largement associé à l’ère numérique, il n’est pas si récent, ayant émergé en 1976 dans «Le Gène égoïste» du biologiste britannique Richard Dawkins, où il est exploré dans le contexte de la transmission culturelle par le biais de l’imitation.
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