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L’autrice Chloé Delaume est chez elle. Il y a son chat, Perdition, qui gratte un peu à la porte, derrière. Son dernier livre, Pauvre folle, raconte aussi son parcours de santé mentale, complexe. Après la lecture d’une notice de médicament, elle décrit des pathologies et symptômes qu’elle vit, comme la déréalisation et la dépression.
Diagnostiquée bipolaire à 28 ans, elle raconte les errances médicales dont elle a été victime. Elle pour qui « la souffrance est un moteur », qui porte autour du cou un cachet de Lexomil en argent, raconte comment les médicaments influent parfois sur sa manière d’écrire. Chloé Delaume raconte aussi l’importance du féminisme, « ce qui rend l’air respirable en ce moment ». Si elle ne « veut pas trop aller dans la maboulerie de papa », elle évoque au micro de Lauren Bastide le féminicide dont a été victime sa mère lorsqu’elle était enfant. Elle parle aussi d’empathie, de traumas, de dissociation, de son double littéraire, Clothilde, et de la nécessité de « nommer l’indicible réel ».
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