Latefa Ahrrare, Actrice, dramaturge et directrice de l'Institut supérieur d'art dramatique et d'animation culturelle Crédit: DR
La récente nomination de Latefa Ahrrare, dramaturge et directrice de l’Institut supérieur d’art dramatique et d’animation culturelle (ISADAC), au conseil d’administration de l’Agence nationale d’évaluation et d’assurance qualité de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (ANEAQ) a suscité une vive polémique sur les réseaux sociaux.
Les critiques émanent principalement de certains acteurs du secteur de l’enseignement supérieur, qui remettent en question la légitimité de cette nomination. Ils estiment « que la désignation d’une personnalité issue du domaine artistique à un poste stratégique lié à l’évaluation et à l’assurance qualité de l’enseignement supérieur pourrait être inappropriée« . Ces détracteurs soulignent l’importance de nommer « des experts ayant une expérience directe dans le secteur académique pour garantir l’efficacité et la pertinence des décisions prises par l’ANEAQ« .
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En revanche, de nombreux soutiens défendent la nomination de Latefa Ahrrare, mettant en avant « sa carrière artistique prolifique et son engagement en faveur de la culture au Maroc. Ils considèrent que sa présence au sein du conseil d’administration de l’ANEAQ pourrait apporter une perspective nouvelle et enrichissante, notamment en ce qui concerne l’intégration des arts et de la culture dans le paysage éducatif marocain« .
Ses partisans estiment que la diversité des profils au sein des instances décisionnelles est bénéfique pour une approche plus holistique de l’éducation et de la recherche.
Face à cette controverse, l’ANEAQ a publié un communiqué précisant que les nominations au sein de son conseil d’administration sont effectuées conformément aux procédures établies et en tenant compte de la diversité des compétences nécessaires pour accomplir sa mission. L’agence souligne que la présence de profils variés, incluant des experts en arts et culture, est essentielle pour une évaluation globale et inclusive du système d’enseignement supérieur marocain.
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Latefa Ahrrare, quant à elle, n’a pas encore réagi publiquement à cette polémique. Cependant, des sources proches indiquent qu’elle est déterminée à contribuer positivement aux travaux de l’ANEAQ, en mettant à profit son expérience et sa vision pour promouvoir une éducation de qualité au Maroc. Il est à noter que l’ANEAQ joue un rôle crucial dans l’évaluation et l’assurance qualité de l’enseignement supérieur au Maroc, et que la composition de son conseil d’administration est déterminante pour l’orientation de ses actions.
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