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L’Algérie effectue un revirement diplomatique en réautorisant précipitamment le transit de marchandises par les ports marocains. Et ce, quelques jours seulement après avoir tenté de boycotter ces installations.
Le communiqué émis par l’association professionnelle mandatée par l’État algérien souligne spécifiquement ce changement de décision concernant le transbordement par les ports marocains. Un rétropédalage qui souligne l’importance de cette mesure pour les denrées périssables, notamment les viandes.
Cette volte-face suggère que la décision initiale d’interdire les transbordements par les ports marocains a été prise de manière précipitée, sans aucune évaluation ni anticipation ni analyses des répercussions.
La décision de l’Algérie souligne ainsi les défis logistiques auxquels le pays est confronté dans la gestion de ses importations. Elle révèle aussi l’importance du transit par les ports marocains dans le contexte des échanges commerciaux entre les deux nations. Cette évolution inattendue soulève de fait des questions sur la stratégie diplomatique et logistique de l’Algérie. Surtout en ce qui concerne les marchandises sensibles
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