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Autrefois considéré comme une figure libérale et modérée, Dmitri Medvedev, actuel vice-président du puissant Conseil de sécurité russe, s’est imposé depuis le lancement de l’offensive russe en Ukraine comme l’un des détracteurs les plus féroces des pays occidentaux.
Selon les observateurs, il s’est tout simplement radicalisé depuis le début de la guerre. Utilisation de l’arme nucléaire, menaces contre l’Occident, ses diatribes se succèdent, parfois un peu loufoques, comme sa dernière prédiction apocalyptique pour l’année 2023.
À quelques jours du Nouvel An, l’ancien Premier ministre Dmitri Medvedev a tenu à apporter sur Twitter sa «modeste contribution», selon ses propres termes, prédisant l’avènement d’un quatrième Reich en Europe…
Et c’est une série de tweets lapidaires qui s’ensuit, décrivant un avenir apocalyptique pour l’Occident, en Europe comme aux États-Unis, où la rhétorique du Kremlin y est utilisée à la lettre, décrivant le camp adverse comme celui d’un régime nazi, sur le point de s’effondrer.
On the New Year’s Eve, everybody’s into making predictions
Many come up with futuristic hypotheses, as if competing to single out the wildest, and even the most absurd ones.
Here’s our humble contribution.
What can happen in 2023:
— Dmitry Medvedev (@MedvedevRussiaE) December 26, 2022
Désormais abonné aux déclarations fracassantes, celui qui a été président, lorsque Vladimir Poutine a brièvement quitté le Kremlin (2008 – 2012), qui a été Premier ministre de 2012 à 2020, avait précédemment écrit sur son compte Telegram : «L’idée même de châtier un pays qui a le plus grand arsenal nucléaire au monde est absurde en soi. Et cela crée potentiellement une menace pour l’existence de l’humanité».
Une stratégie qui paraît avoir payé, puisque celui qui était déjà président du parti de Vladimir Poutine, et n°2 du Conseil de sécurité, a été nommé le 26 décembre comme bras droit du président russe pour la gouvernance de l’industrie militaire.
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