Les enseignants ont défilé par milliers, le 7 novembre à Rabat © DR
Les écoles se retrouvent à nouveau paralysés par une grève significative qui dure trois jours, se prolongeant jusqu’à jeudi. Ce mouvement de protestation nationale a vu des milliers d’enseignants manifester dans les rues de Rabat, hier. Ils étaient environ 30.000 personnes dans les rues de la capitale.
Les manifestants, tous fonctionnaires du ministère de l’Éducation nationale, ont entamé leur marche au Parlement pour se diriger vers le ministère. Leur revendication principale est le retrait du nouveau statut unifié, adopté il y a plus de 40 jours par le Conseil du gouvernement, et considéré insatisfaisant par les enseignants.
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Pas d’entente, plus de grèves
La contestation s’accentue avec les jours et les grèves successives ne montrent aucun signe d’affaiblissement malgré les tentatives de conciliation par le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch. Ce dernier s’est dit prêt à envisager des modifications, suite à une réunion avec les principaux syndicats d’enseignants qui avaient auparavant participé à la révision dudit statut.
De leur côté, les enseignants restent fermes sur leur position. Ils exigent un statut équitable et inclusif qui prenne en compte les demandes de tous les enseignants. Malgré les déductions sur salaire pour les jours de grève décidées par le ministre Chakib Benmoussa, les enseignants soulignent leur détermination à voir abroger le statut unifié. Quant à la Coordination nationale de l’éducation, elle voit dans cette abrogation un « droit légitime » et continue de presser le ministère pour obtenir gain de cause.
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