Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Ce n’est pas pour rien que 95% des clients entreprises se déclarent satisfaits des services de Bank Al Yousr. Et cela se reflète sur les résultats puisqu’à fin 2022, 45% des encours de financement de la banque, et 60% de sa production, ont été générés par les PME.
Bank Al Yousr a su mettre sur le marché une offre performante de financements dédiés aux entreprises. Grâce à la mobilisation générale de toutes ses ressources humaines, de la directrice générale aux conseillers de clientèle en passant par les directeurs d’agence, la banque réussit à offrir aux entreprises marocaines le service de qualité qu’elles méritent. À travers la ligne globale de financement, Bank Al Yousr allie compétitivité et rapidité tout en fournissant un accompagnement global des entreprises.
Lire aussi : Contrats Salam : Bank Al Yousr, chef de file des banques participatives
Une ligne de financement en totale transparence
La ligne globale de financement de Bank Al Yousr est destinée aux TPE, PME ou GE dont l’activité est conforme aux normes de la Chariâa. Elles peuvent ainsi financer les programmes d’investissement et/ou d’exploitation grâce à cette formule d’accompagnement participative sur mesure et sans surprise. Tout est écrit noir sur blanc. Un accord de la banque sur le montant global des besoins est notifié. Ce montant peut être utilisé en toute agilité, au fur et à mesure, en fonction de l’avancement de la réalisation des programmes de l’entreprise.
De nombreux avantages
En souscrivant à la ligne globale de financement chez Bank Al Yousr, l’entreprise a la possibilité de couvrir tous ses besoins de trésorerie à travers Bai Salam mais aussi ceux d’un ou de plusieurs programmes d’investissement à travers le reste des contrats validés par le Conseil supérieur des oulémas (CSO). L’entreprise cliente a aussi la possibilité de renouveler la ligne de financement d’exploitation au fur et à mesure du remboursement des financements. Enfin, la marge bénéficiaire de la banque n’est perçue que sur le montant du financement de chaque contrat signé avec le client.
Temps de lecture : 3 minutes
Maroc 2024 : réformes clés pour un avenir durableEn 2024, le Maroc se trouve à un carrefour décisif de son développement économique. À la suite de plusieurs chocs externes, dont la pandémie… |
Pourquoi le gouvernement s’oppose-t-il à l’exonération fiscale des associations ?Les parlementaires du groupe socialiste n’ont pas été tendre avec le ministre délégué en charge du Budget, Fouzi Lekjaa. Ces derniers ont fo… |
Défis budgétaires : quelle est la stratégie de l’État ?Le bulletin mensuel de statistiques des finances publiques d’octobre 2024, publié par la Trésorerie générale du Royaume du Maroc met en lumi… |
Crise de la main-d’œuvre dans l’agriculture marocaineDepuis plusieurs années, l’agriculture marocaine subit une transformation profonde, principalement en raison de la migration de nombreux tra… |
PLF 2025 : taxe sur les gains, une menace pour les casinosDans le cadre du projet de loi de Finances (PLF) 2025, le gouvernement marocain propose d’introduire une taxe directe sur les gains des joue… |
Carburants : augmentation des importations et tensions sur les marges des distributeursLes dernières données publiées par le Conseil de la concurrence montrent une hausse notable des importations de gasoil et d'essence pour le … |
TPE, PME : quelle place dans la course entrepreneuriale ?Lors de la conférence de presse prévue pour le 8 novembre à Casablanca, Abdellah El Fergui, président de la Confédération marocaine des Très… |
Guelmim-Oued Noun : une transformation pour un avenir durable et inclusifLa région de Guelmim-Oued Noun a tout pour faire des jalouses… Elle met, tout d'abord, un accent particulier sur le développement social ave… |