Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Jeudi prochain, le vote du Parlement espagnol déterminera si Pedro Sánchez, le Premier ministre socialiste actuel, conserve son poste. Cependant, son maintien au pouvoir semble assuré, en grande partie grâce à l’appui des députés catalans indépendantistes, qui ont accepté de le soutenir en échange de l’adoption d’une loi d’amnistie controversée. Francina Armengol, présidente de la Chambre des députés, a annoncé que les discussions débuteraient mercredi à 11h GMT, avant le vote de confiance jeudi.
Lire aussi : Espagne : Pedro Sánchez scelle un avenir progressiste avec une coalition inédite
Un accord clé avec les indépendantistes catalans
Sánchez, dirigeant le pays depuis juin 2018, a formé une majorité avec le soutien de divers partis, incluant l’extrême gauche, des partis basques et catalans, et un petit parti des Canaries, lui assurant 179 voix, trois de plus que la majorité absolue nécessaire. Toutefois, cette majorité s’est consolidée grâce à un accord avec Carles Puigdemont, un leader indépendantiste catalan, pour une loi d’amnistie en faveur des séparatistes catalans poursuivis suite à leur tentative de sécession en 2017. Cette mesure a créé une forte polarisation au sein de la société espagnole.
Dimanche dernier, à l’initiative du Parti Populaire, le principal parti d’opposition de droite, des centaines de milliers de personnes ont protesté contre cette amnistie. Bien qu’Alberto Núñez Feijóo, le chef du Parti Populaire, ait remporté les élections législatives, il n’a pas réussi à rassembler suffisamment de soutien parlementaire pour accéder au poste de Premier ministre.
Temps de lecture : 2 minutes
Espagne : les recherches se poursuivent six jours après les inondationsSix jours après les inondations, le bilan s’élève à 217 morts. Ce chiffre pourrait être revu à la hausse puisque certains habitants manquent… |
Belgique : prolongation de la mission du formateur du gouvernementLa mission de Bart De Wever, président du parti nationaliste flamand (N-VA), en tant que formateur du nouveau gouvernement belge, a été prol… |