Pedro Sánchez président du gouvernement d'Espagne © DR
Jeudi prochain, le vote du Parlement espagnol déterminera si Pedro Sánchez, le Premier ministre socialiste actuel, conserve son poste. Cependant, son maintien au pouvoir semble assuré, en grande partie grâce à l’appui des députés catalans indépendantistes, qui ont accepté de le soutenir en échange de l’adoption d’une loi d’amnistie controversée. Francina Armengol, présidente de la Chambre des députés, a annoncé que les discussions débuteraient mercredi à 11h GMT, avant le vote de confiance jeudi.
Lire aussi : Espagne : Pedro Sánchez scelle un avenir progressiste avec une coalition inédite
Un accord clé avec les indépendantistes catalans
Sánchez, dirigeant le pays depuis juin 2018, a formé une majorité avec le soutien de divers partis, incluant l’extrême gauche, des partis basques et catalans, et un petit parti des Canaries, lui assurant 179 voix, trois de plus que la majorité absolue nécessaire. Toutefois, cette majorité s’est consolidée grâce à un accord avec Carles Puigdemont, un leader indépendantiste catalan, pour une loi d’amnistie en faveur des séparatistes catalans poursuivis suite à leur tentative de sécession en 2017. Cette mesure a créé une forte polarisation au sein de la société espagnole.
Dimanche dernier, à l’initiative du Parti Populaire, le principal parti d’opposition de droite, des centaines de milliers de personnes ont protesté contre cette amnistie. Bien qu’Alberto Núñez Feijóo, le chef du Parti Populaire, ait remporté les élections législatives, il n’a pas réussi à rassembler suffisamment de soutien parlementaire pour accéder au poste de Premier ministre.
L’élimination de la pauvreté pourrait prendre plus d’un siècle (Banque mondiale)
Afrique, Monde, Société - La Banque Mondiale estime que l’élimination de la pauvreté qui touche la planète pourrait prendre plus de cent ans.
Mbaye Gueye - 15 octobre 2024Russie : un homme survit après deux mois à la dérive en mer
Monde - Un homme a été secouru après avoir passé deux mois à la dérivé dans les eaux de la mer d'Okhotsk, en Extrême-Orient russe.
Mbaye Gueye - 15 octobre 2024Forte participation marocaine au Gitex Global 2024 à Dubaï
Hajar Toufik - 15 octobre 2024Escalade meurtrière à Gaza et au Liban
Monde - La situation au Proche-Orient continue de s’intensifier avec des frappes aériennes israéliennes sur le Liban et Gaza
Ilyasse Rhamir - 14 octobre 2024Islande : la coalition au pouvoir éclate, les élections prévues pour fin novembre
Monde -Bjarni Benediktsson, Premier ministre islandais, a annoncé la tenue de nouvelles élections pour fin novembre. suite à des désaccords.
Mbaye Gueye - 14 octobre 2024Verdict historique en France : peines de 3 à 20 ans pour des viols en série
Monde - Un tribunal français a rendu un verdict marquant dans une affaire de viols en série ayant ébranlé la France.
Rédaction LeBrief - 19 décembre 2024France : une loi spéciale pour sauver le budget 2025
Monde - Face à l’impasse budgétaire pour 2025, le Parlement a adopté une loi exceptionnelle pour garantir le fonctionnement minimal des services publics.
Ilyasse Rhamir - 19 décembre 2024Vol MH370 : la Malaisie relance les recherches dix ans après le crash
Monde - Dix ans après la disparition du vol MH370 de Malaysia Airlines, le gouvernement malaisien a approuvé la reprise des recherches.
Mbaye Gueye - 20 décembre 2024Belgique : nouvelle prolongation pour la formation du gouvernement
Monde - Le Roi Philippe (Belgique) a décidé de prolonger la mission de Bart De Wever, le leader du parti nationaliste flamand N-VA, jusqu’au 7 janvier 2025.
Ilyasse Rhamir - 20 décembre 2024Belgique : la retraite passe à 66 ans
Monde - À partir du 1ᵉʳ Janvier 2025, l'âge légal du départ à la retraite en Belgique passera de 65 ans à 66 ans.
Mouna Aghlal - 27 décembre 2024Sanction en Russie : TikTok à nouveau dans le viseur des autorités
Monde - Un tribunal de Moscou a condamné TikTok à une amende de 28.900 dollars pour non-respect des réglementations russes.
Rédaction LeBrief - 27 décembre 2024Tebboune critique Sansal et la France
Monde - Tebboune a critiqué l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, arrêté à Alger, le qualifiant d’« imposteur » envoyé par la France.
Rédaction LeBrief - 30 décembre 2024