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Au pouvoir depuis 2018, le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) pourrait laisser les rênes du gouvernement à son principal adversaire de droite, le Parti populaire (PP), dimanche 23 juillet. Le jour où les électeurs devront choisir le modèle de pays qu’ils souhaitent pour l’avenir.
Les prochaines élections législatives devaient en principe avoir lieu en décembre, mais le premier ministre, Pedro Sánchez, a pris la décision, au lendemain des élections régionales et municipales fin mai dernier, de dissoudre le parlement aux mains de la coalition formée par le PSOE et son allié de gauche radicale, Podemos.
Si le triomphe du PP aux élections municipales et régionales autonomes laissait penser qu’une vague triomphale porterait Alberto Núñez Feijóo à la présidence du gouvernement, c’est aujourd’hui beaucoup plus incertain, étant donné la croissance et le redressement du parti socialiste.
Pour Pedro Sánchez, le scrutin de ce dimanche est crucial, car il déterminera soit la continuation d’une politique progressiste, soit le retour à un conservatisme marqué par des tendances franquistes.
À droite, le Parti Populaire de Nuñez Feijóo résiste à l’exagération et insiste sur le slogan de « mettre fin au sanchismo ». Sa campagne se focalise sur le rejet personnel du président Sánchez. D’un autre côté, le parti d’extrême droite VOX mène une campagne beaucoup plus offensive sur le plan idéologique. Il ne se contente pas de dénoncer Pedro Sánchez, mais vise à faire reculer l’agenda et les propositions progressistes. La gauche dénonce, de son côté, la guerre culturelle envisagée par VOX et la relie aux tendances ultra-conservatrices venant des États-Unis.
En termes de sondages, c’est le PP qui reste le favori pour ces élections. Les sondages lui accordent entre 30 et 34% des intentions de vote, soit entre 128 et 150 sièges (ce qui représenterait un gain minimal de 39 sièges et maximal de 61), alors que le PSOE oscille entre 24 et 28% (105-120 sièges).
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