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Même si le clan Castro a cédé le pouvoir en 2018, Cuba n’est toujours pas une démocratie. Le président Miguel Diaz-Canel, premier civil à prendre les rênes du pays après les présidences des frères Fidel (1926-2016) et Raul Castro, au pouvoir depuis le triomphe de la révolution cubaine en 1959, vient d’être reconduit par les 470 députés du parlement où n’existe aucun parti d’opposition.
Il a été chargé d’accélérer la lente réforme économique lancée par son prédécesseur et mentor politique mais il n’a pas été capable d’enrayer la crise que traverse Cuba depuis 2018. La pire depuis trois décennies, avec des pénuries de nourriture, de médicaments et de carburant, dues au renforcement de l’embargo américain en place depuis 1962, et aux conséquences de la pandémie de Covid-19.
Dans son discours d’investiture, cet ingénieur en électronique de formation qui est aussi, depuis 2021, le Premier secrétaire du Parti communiste cubain (PCC) a notamment promis de «résoudre les problèmes d’inefficacité» dans le pays. L’occasion de se demander où va ce pays qui, s’il a reconnu la propriété privée et autorise les investissements étrangers, reste un endroit à part sur la planète.
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