Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
La capacité totale des 12 stations de dessalement de l’eau de mer existantes est actuellement de 179 millions de mètres cubes par an (Mm³/an), auxquels s’ajoutent 37 Mm³ provenant du dessalement des eaux saumâtres. C’est ce qu’a indiqué, lundi 10 juillet, le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka.
À la Chambre des représentants, le ministre a souligné que deux nouvelles stations à Safi et Jorf Lasfar, réalisées par l’Office chérifien des phosphates (OCP), ont ajouté 110 Mm³ à cette capacité de production.
En outre, a poursuivi le ministre, plusieurs projets de dessalement sont en cours de réalisation à Sidi Ifni, Tarfaya, Dakhla et Casablanca. La plus grande station est celle de Casablanca-Settat, d’une capacité de 300 Mm³/an. Elle est réalisée dans le cadre d’un partenariat public-privé (PP).
Lire aussi : Stockage d’eau : 18 barrages en construction pour atteindre 27 MMm³
Importance des PPP
Le chef du département a mis l’accent sur l’importance des PPP pour développer le secteur du dessalement, assurer la qualité des services et respecter les délais. Dans le cadre du Programme national d’approvisionnement en eau potable et l’irrigation (PNAEPI) 2020-2027, de nouveaux projets de dessalement seront lancés pour atteindre une capacité de production de 1 MMm³/an d’ici 2030.
Depuis les années 1970, le Maroc utilise la technique de dessalement pour approvisionner les provinces du Sud en eau potable, en raison de la rareté des ressources hydriques conventionnelles. Les sécheresses récentes ont révélé la nécessité de diversifier les sources d’approvisionnement en eau, notamment par le dessalement. Cette technique a permis, d’après Nizar Baraka, d’alimenter plusieurs régions du pays en eau potable et d’irrigation, comme Al Hoceima et la région du Grand Agadir.
Temps de lecture : 2 minutes
Tomates : Azura se défend face aux critiques des producteurs françaisLe leader des tomates cerise marocaines, Azura se trouve sous le feu des critiques des producteurs français, accusés de mener une campagne d… |
Affaire La Samir : indignation et préoccupations après la décision du CIRDIQuelques jours après la décision du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI) concernant le… |
Lydec : la cession validée par le Conseil de la concurrenceAhmed Rahou, à la tête du Conseil de la concurrence, doit approuver une transaction importante dans le secteur des services publics. Veolia … |
Nadia Fettah présente la loi sur les établissements bancaires au gouvernementLors de sa réunion de jeudi, le Conseil de gouvernement a examiné les propositions clés pour réformer la loi réglementant les établissements… |
Le Maroc résiste aux défis économiques avec une croissance robusteLa Banque mondiale a récemment publié son dernier rapport économique sur le Maroc, révélant une économie en phase de redressement et de rési… |
La BAD investit 1,26 milliard d’euros dans l’économie marocaine en 2024Depuis le début de l'année 2024, la Banque africaine de développement (BAD) a injecté un nouveau souffle dans l'économie marocaine en initia… |
Inauguration de Coco Park à Meknès : le plus grand parc d’attractions du MarocCe mercredi à Meknès, la ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire, Fatim-Zahra Ammor, a inauguré le Coco P… |
Investissements étrangers : le département d’État américain loue les atouts du MarocLe rapport annuel du département d'État américain sur le climat d’investissement, publié mercredi, a dressé les atouts et les ambitions du M… |