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Dans une situation alarmante, le Maroc fait face à sa sixième année consécutive de sécheresse. Par ailleurs, la diminution des précipitations, en chute libre de 67% par rapport aux normales annuelles, est directement attribuable aux effets dévastateurs des changements climatiques. En outre, Nizar Baraka, le ministre de l’Équipement et de l’Eau, souligne l’entrée du pays dans une phase critique, jamais expérimentée auparavant.
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L’agriculture en péril et les barrages asséchés
Effectivement, l’agriculture, pilier de l’économie marocaine et employant un tiers des travailleurs, est en première ligne de cette crise. De plus, l’évaporation croissante due à l’augmentation des températures aggrave la situation, faisant craindre pour la viabilité future de ce secteur important. D’autre part, les réservoirs du pays, ne contenant plus que 23,5% de leur capacité, contre 31% l’année précédente, témoignent de la gravité de la situation.
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Des mesures d’urgence et la course à la désalinisation
Afin de faire face à cette crise, les autorités misent sur des solutions à long terme, notamment la construction de stations de dessalement. Un projet majeur démarre à Casablanca, visant à soulager la plus grande agglomération du pays. D’ici 2027, le Royaume envisage la construction de sept nouvelles installations, augmentant significativement sa disposition de dessalement. De ce fait, les autorités perçoivent ces mesures comme essentielles pour garantir la sécurité hydrique face à un avenir incertain.
En conclusion, le pays se trouve à un tournant critique, où la gestion de l’eau devient une priorité absolue pour sauvegarder son agriculture et maintenir son développement économique. À cet égard, les initiatives de dessalement représentent un espoir, mais aussi un défi dans la lutte contre les effets dévastateurs du changement climatique.
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