Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
La COP29 s’ouvre à Bakou, en Azerbaïdjan, dans un climat de tensions qui met en lumière les fractures persistantes entre pays du Nord et pays du Sud. Dès les premières heures, des désaccords sur l’ordre du jour freinent l’avancée des négociations. La Chine qui est soutenue par l’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud, exige d’ajouter les barrières commerciales climatiques à l’agenda, une revendication qui cible notamment l’Union européenne.
L’objectif principal de cette conférence est de définir un nouveau montant pour l’aide climatique des pays développés, censée atteindre des milliers de milliards de dollars annuels pour permettre aux pays en développement d’affronter les crises climatiques. Cependant, les pays riches jugent ces demandes irréalistes exacerbant ainsi les tensions sur cette “dette climatique” qui reste un sujet brûlant.
Lire aussi : La COP 29 s’ouvre en Azerbaïdjan
Les discours d’ouverture, comme celui de Simon Stiell, directeur de l’ONU Climat, appellent à une coopération mondiale renforcée. Pourtant, les blocages structurels montrent une réalité plus sombre alors que plusieurs grandes puissances, dont les États-Unis après la réélection de Donald Trump, s’éloignent des engagements climatiques internationaux. En Europe, les dirigeants de premier plan, tels Emmanuel Macron et Olaf Scholz, brillent également par leur absence ce qui illustre un désengagement occidental préoccupant.
Alors que l’ambiance est à l’austérité en Europe et au désengagement aux États-Unis, la pression pour un financement climatique équilibré entre les pays développés et les économies émergentes reste forte. Les enjeux de la COP29 sont cruciaux pour l’avenir de l’accord de Paris mais les incertitudes politiques risquent de compromettre les progrès indispensables pour lutter contre le réchauffement climatique.
Temps de lecture : 2 minutes
Suisse : interdiction de se couvrir le visage en public à partir de janvier 2025Le Conseil fédéral suisse a annoncé qu'à compter du 1ᵉʳ janvier 2025, il sera interdit de se dissimuler le visage en public, en vertu d'une … |
Kamala Harris concède sa défaite face à Donald TrumpLa vice-présidente et candidate démocrate, Kamala Harris, a concédé sa défaite face à Donald Trump. « Nous devons accepter » le résultat de … |
Le roi Mohammed VI félicite Donald TrumpLe roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations à Donald Trump à l’occasion de son élection. Dans le message, le Souverain a exprim… |
Donald Trump fait son come-backQuatre ans, après l’avoir quittée la maison blanche par la petite porte après l'insurrection du 6 janvier 2021, Donald Trump revient aux aff… |
Inondations en Espagne : près de 15.000 militaires et policiers mobilisésLe chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, a annoncé mardi que le nombre de militaires et de policiers déployés dans le sud-est de l'E… |
UE : cap sur l’hydrogène renouvelableL’Union européenne s’apprête à franchir une nouvelle étape dans sa politique en faveur de l’hydrogène renouvelable. Lors d’une réunion à Bru… |
Etats-Unis : le système électoral expliquéDes millions d’Américains votent en ce moment même pour élire leur 47e président, un choix entre Kamala Harris et Donald Trump. Ce scrutin s… |
Harris ou Trump : l’Amérique face à un choix historiqueLes États-Unis vivent un jour d’élection décisif ce 5 novembre, opposant Kamala Harris et Donald Trump pour une place historique à la Maison… |