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La scène internationale a été le témoin d’un développement notable ce mercredi, lorsque les Nations Unies ont adopté une résolution exigeant le retrait d’Israël des territoires palestiniens occupés dans un délai de 12 mois. La ministre saoudienne, ainsi que des représentants des Émirats arabes unis, du Qatar, de la Jordanie, et de l’Organisation de la coopération islamique, ont unanimement soutenu cette résolution, soulignant l’importance de sa mise en œuvre effective.
La résolution, qualifiée d’historique par ses partisans, a été approuvée par une majorité écrasante de 124 voix contre 14 lors d’une session spéciale de l’Assemblée générale des Nations unies, intitulée : «Les mesures illégales d’Israël à Jérusalem-Est occupée et dans les autres territoires palestiniens occupés». Le Maroc a également voté en faveur de cette proposition, qui a reçu le soutien de plus de 40 nations.
Lire aussi : L’ONU exige la fin de l’occupation israélienne en Palestine
L’OCI appelle à des actions concrètes
Dans une déclaration vibrante, l’Organisation de la coopération islamique a décrit l’occupation israélienne comme illégale et a appelé à des mesures concrètes pour y mettre fin. «Ce vote reflète un consensus international et confirme le soutien indéfectible aux droits légitimes des palestiniens», a souligné l’organisation, en exhortant les États membres à faire respecter cette décision.
Mahmoud Abbas, le président palestinien, a exprimé sa satisfaction face à cette résolution, la considérant comme un signe de reconnaissance internationale de la justice de la cause palestinienne et une victoire pour les aspirations à l’autodétermination et à la création d’un État indépendant. «Cela renouvelle l’espoir de notre peuple face à l’oppression continue, signifiant une étape vers une Palestine libre avec Jérusalem-Est comme capitale», a-t-il ajouté.
Malgré cette avancée, Israël a rejeté catégoriquement la résolution, la qualifiant de «déconnectée de la réalité» et contraire aux efforts de paix.
Alors que le monde regarde, la pression internationale s’accroît pour qu’Israël cesse ses actions militaires et respecte les directives onusiennes pour un cessez-le-feu immédiat et la prévention de ce que certains qualifient de génocide potentiel.
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