Le Procès
On raconte que c’est grâce aux éditions clandestines du samizdat – et donc, sans nom d’auteur – que fut introduite en Union soviétique la traduction du Procès. Les lecteurs pensèrent, dit-on, qu’il s’agissait de l’œuvre de quelque dissident, car ils découvraient, dès le premier chapitre, une scène familière : l’arrestation au petit matin, sans que…