Qui sème le vent…
Tous ceux qui, sur le mur de lamentation à Addis-Abeba, se plaignent que le risque-pays des Etats africains est surévalué, et que cela renchérit injustement leur coût de financement, devraient revoir leurs analyses. C’est un procès fait constamment aux agences de notation financière et aux opérateurs d’assurance-crédit. En réalité, il n’y a ni exagération de…