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La politique fiscale joue un rôle déterminant dans la relance économique et veille au renforcement des structures financières des entreprises marocaines. Le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), Chakib Alj, a fait cette déclaration, lundi 13 février à Casablanca, lors d’une rencontre avec le directeur général de la Direction générale des impôts (DGI), Younes Idrissi Kaitouni. La réunion portait sur les principales dispositions de la loi de Finance (LF) de l’année 2023.
Selon Alj, les réformes fiscales, avec notamment des incitations en faveur des opérateurs économiques, sont les principaux instruments pour stimuler la croissance. À ce titre, le président du patronat a relevé certains éclairages apportés par la LF-2023. Il s’agit, en l’occurrence, de la réforme globale de l’impôt sur les sociétés (IS) visant une baisse progressive en vue d’atteindre le taux de 20% pour la grande majorité d’entreprises. Cette révision permettra de mettre en place un système plus harmonieux, simple et équitable tout en donnant aux opérateurs et investisseurs futurs plus de visibilité d’ici 2026, a-t-il affirmé.
Parallèlement, le patron des patrons s’est félicité des mesures visant la préservation de l’attractivité du Maroc pour les investissements directs étrangers d’envergure. Parmi ces mesures, figure notamment le plafonnement du taux de 20% même pour les entreprises réalisant plus de 100 millions de DH de bénéfice net fiscal et opérant dans les Zones d’accélération industrielles ou sous statut CFC (Casablanca Finance City).
Certaines réformes restent encore non abordées
Cependant, le président de la Confédération a relevé certaines réformes qui restent encore non abordées. Il est notamment question de la réforme de la TVA, de la fiscalité locale, ainsi que de l’informel, «chantier clé et déterminant de notre dispositif économique et fiscal». Et de noter que ces réformes sont fortement attendues par les entreprises pour leurs effets positifs sur la baisse de la pression fiscale, l’alignement des taxes et la neutralité.
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