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Le Maroc est le premier pays africain en matière de réputation, selon un rapport réalisé par Reputation Lab pour le compte de l’Institut royal des études stratégiques (IRES). Mais pas que, puisque le Royaume est aussi arrivé dans le monde arabe. Le document s’est basé sur les données tirées d’une étude à grande échelle dont le travail de terrain a été mené pendant les mois de mars et avril 2024 (RepCore Nations 2024), a rapporté l’Economiste, ajoutant que le Maroc enregistre une amélioration de +0,8 point sur son indicateur de réputation externe, atteignant 48,7 points.
Les perceptions du Maroc ont connu une légère amélioration sur plusieurs aspects, notamment la «protection de l’environnement», les «dirigeants respectés» et la «qualité des produits et services». Cependant, par rapport à 2023, certains indicateurs comme les «marques et entreprises connues» ont enregistré une baisse. La réputation du Royaume s’est particulièrement améliorée en Chine, en Corée du Sud et dans certains pays africains tels que l’Afrique du Sud, le Nigéria et le Kenya.
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Le Maroc obtient de bons résultats en matière d’attractivité touristique auprès des ressortissants des pays du G7 et de la Russie, avec un score dépassant la moyenne des 60 pays ayant le PIB le plus élevé. L’initiative royale pour l’Afrique Atlantique a été largement saluée à l’international, notamment en Turquie, en Inde, en Chine et au Nigéria, renforçant ainsi la réputation externe du Royaume.
Toutefois, une analyse comparative révèle des différences notables entre les perceptions internes et externes du Maroc. Les Marocains ont, en général, une opinion plus favorable du pays que les ressortissants des pays du G7 et de la Russie. Par contre, ils se montrent moins enthousiastes sur des points comme l’«usage des ressources publiques», la «qualité du système éducatif», l’«environnement institutionnel et politique», le «bien-être social» et l’ éthique et transparence». Ces défis pourraient constituer des risques pour l’image du Royaume.
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