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Le breaking revient de loin. En l’espace de quarante ans, le breaking est passé du statut de danse de rue à celui de discipline olympique.
D’abord perçu comme un art de rue, pratiqué au pied des immeubles de cités, il s’est peu à peu imposé dans la grande famille de la danse, jusqu’à intégrer la Fédération française de danse et recevoir le titre de «discipline de haut niveau» par le ministère des sports. Reconnaissance ultime pour cet art à caractère sportif : il sera pour la première fois présent en compétition aux Jeux olympiques (JO) de Paris 2024.
Mais nombre de breakeurs ne voient pas cette institutionnalisation d’un bon œil, redoutant un formatage de leur discipline. Car au-delà de son arrivée aux JO, le breaking se structure de plus en plus. Une formation professionnelle pour devenir entraîneur de breakdance vient d’être lancée et plusieurs municipalités investissent pour promouvoir et développer la pratique sur leur territoire.
Quelle est l’histoire de cet art sportif ? Qu’est-ce que son institutionnalisation implique pour ses pratiquants, attachés à ses origines subversives ? Comment expliquer ce changement de perception de la part du grand public ? Le breaking risque-t-il d’être dénaturé ?
Robin Richardot, journaliste au service société du Monde, est allé à la rencontre des breakeurs d’hier et d’aujourd’hui aux Mureaux, dans les Yvelines. Dans ce podcast, il raconte l’évolution d’une discipline tiraillée entre sa soif de reconnaissance et d’autonomie.
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