Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le secteur de l’enseignement traverse une période critique. D’une part, les grèves des enseignants persistent et, d’autre part, des menaces de perturbation similaire se profilent dans l’enseignement supérieur. Par conséquent, cette situation met en lumière les profondes insatisfactions des professionnels de l’éducation face aux politiques gouvernementales.
Des coordinations émergentes contre l’inaction gouvernementale
Des enseignants universitaires, s’organisant en coordinations à travers des groupes WhatsApp, protestent contre le non-respect d’un décret promettant une augmentation de salaire de 3.000 DH. Ce décret, paru dans le Bulletin officiel (BO), semble rester lettre morte, exacerbant ainsi le sentiment de trahison parmi les enseignants. En outre, ce mouvement de contestation symbolise un malaise général vis-à-vis du gouvernement, accusé de manquer de sincérité et de crédibilité dans ses engagements.
Lire aussi : Transformation numérique : le Maroc lance une révolution numérique dans l’enseignement supérieur
Le syndicat sous le feu des critiques
De plus, le Syndicat national de l’enseignement supérieur (SNES) fait également l’objet de critiques sévères. Les enseignants universitaires le blâment pour sa proximité avec des agendas politiques, ce qui, selon eux, compromet son rôle de défenseur impartial des intérêts des professionnels de l’éducation. Par conséquent, cette défiance envers le syndicat augmente la pression sur le secteur et risque de fragiliser davantage la paix sociale au sein des institutions éducatives.
Lire aussi : Enseignement supérieur : Aziz Akhannouch veut une réforme en profondeur
Un avenir incertain pour l’éducation marocaine
En conclusion, la situation actuelle dans l’éducation nationale, avec les grèves des enseignants et un dialogue laborieux avec le gouvernement, annonce peut-être une crise similaire dans l’enseignement supérieur. Ce climat de mécontentement généralisé souligne les défis que le gouvernement doit relever pour apaiser et réformer le système éducatif. La manière dont le gouvernement et les syndicats répondront à ces problématiques dans les prochains jours sera déterminante pour l’avenir de l’éducation.
Temps de lecture : 2 minutes
Les Étoiles 2025 : ouverture des souscriptions le 11 novembreLes Impériales, l'événement incontournable du secteur de la communication, du marketing, du digital, des médias et de l'événementiel, se dér… |
Les étudiants en médecine et en pharmacie mettent fin à leur grèveC’est un soulagement chez les parents puisque l’institution du Médiateur du Royaume a annoncé que le bras de fer qui opposait les étudiants … |
Lancement de la campagne nationale de lutte contre le harcèlement scolaire et le cyberharcèlementLe 29 octobre 2024, la princesse Lalla Meryem, en présence de Brigitte Macron, a inauguré la campagne de sensibilisation contre le harcèleme… |
Rabat : lancement du premier certificat universitaire en éducation bilingue et langue des signes pour les sourdsCe 7 novembre, la Faculté des Sciences de l’Éducation de l’Université Mohammed V de Rabat a lancé un programme innovant visant à former des … |
Le Maroc va accueillir la 93ème session de l’AG d’InterpolÀ la fin de la 92éme session de l’Assemblée générale d’Interpol à Glasgow, le Maroc a reçu le drapeau de l’organisation internationale en ta… |
CNSS : fin du certificat de vie pour les retraitésDans une volonté de modernisation et de simplification des démarches administratives, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) a lancé… |
Lancement de la campagne nationale de prévention contre la grippeLa campagne nationale de prévention et de contrôle de la grippe et des infections respiratoires aigües, a été lancé par le ministère de la S… |
Recensement 2024 : 36,8 millions d’habitants au MarocLe Maroc officialise les chiffres du recensement 2024 : le pays compte désormais 36,8 millions d’habitants selon un projet de décret approuv… |