Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
![Enseignement supérieur](https://files.lebrief.ma/uploads/2023/04/18114727/Miraoui.jpg)
Temps de lecture : 2 minutes
Le secteur de l’enseignement traverse une période critique. D’une part, les grèves des enseignants persistent et, d’autre part, des menaces de perturbation similaire se profilent dans l’enseignement supérieur. Par conséquent, cette situation met en lumière les profondes insatisfactions des professionnels de l’éducation face aux politiques gouvernementales.
Des coordinations émergentes contre l’inaction gouvernementale
Des enseignants universitaires, s’organisant en coordinations à travers des groupes WhatsApp, protestent contre le non-respect d’un décret promettant une augmentation de salaire de 3.000 DH. Ce décret, paru dans le Bulletin officiel (BO), semble rester lettre morte, exacerbant ainsi le sentiment de trahison parmi les enseignants. En outre, ce mouvement de contestation symbolise un malaise général vis-à-vis du gouvernement, accusé de manquer de sincérité et de crédibilité dans ses engagements.
Lire aussi : Transformation numérique : le Maroc lance une révolution numérique dans l’enseignement supérieur
Le syndicat sous le feu des critiques
De plus, le Syndicat national de l’enseignement supérieur (SNES) fait également l’objet de critiques sévères. Les enseignants universitaires le blâment pour sa proximité avec des agendas politiques, ce qui, selon eux, compromet son rôle de défenseur impartial des intérêts des professionnels de l’éducation. Par conséquent, cette défiance envers le syndicat augmente la pression sur le secteur et risque de fragiliser davantage la paix sociale au sein des institutions éducatives.
Lire aussi : Enseignement supérieur : Aziz Akhannouch veut une réforme en profondeur
Un avenir incertain pour l’éducation marocaine
En conclusion, la situation actuelle dans l’éducation nationale, avec les grèves des enseignants et un dialogue laborieux avec le gouvernement, annonce peut-être une crise similaire dans l’enseignement supérieur. Ce climat de mécontentement généralisé souligne les défis que le gouvernement doit relever pour apaiser et réformer le système éducatif. La manière dont le gouvernement et les syndicats répondront à ces problématiques dans les prochains jours sera déterminante pour l’avenir de l’éducation.
Temps de lecture : 2 minutes
Communiqué du ministère de la Maison royale, du Protocole et de la ChancellerieVoici un communiqué du ministère de la Maison royale, du Protocole et de la Chancellerie : «A la suite de l’annonce du décès de Son Altesse … |
Hommages des chefs d’États étrangers après le décès de la princesse Lalla LatifaLe Royaume est en deuil suite au décès de la princesse Lalla Latifa, mère du roi Mohammed VI. Cette triste nouvelle a suscité une vague de s… |
Le Palais royal annonce le décès de la princesse Lalla LatifaLe porte-parole du Palais royal a annoncé ce samedi 29 juin, le décès de la princesse Lalla Latifa, épouse de feu Hassan II et mère du roi M… |
Affaire Moubdiî : le procès renvoyé au 25 juilletLe procès de l’ancien ministre s’est ouvert ce jeudi 27 juin devant la chambre des crimes financiers près la Cour d’appel de Casablanca. Mai… |
Malaga : un Marocain accusé de propagande Daech sur TikTokEn Espagne, un citoyen marocain a été placé en détention préventive suite à son arrestation à Malaga, dans le cadre d'une opération ciblant … |
Concours d’accès aux études médicales : le seuil fixé est de 13/20Le seuil d'admission au concours d'accès aux facultés de médecine, pharmacie et médecine dentaire, tant dans le secteur public que privé, a … |
Veuve de Mehdi Ben Barka, Rhita Bennani est décédée à ParisRhita Bennani, celle qui a accompagné Mehdi Ben Barka jusqu’à sa disparition le 29 octobre 1965, est morte à Paris dans la matinée de mercre… |
Baccalauréat 2024 : le dépôt des réclamations ouvert jusqu’au 29 juinLes candidats ayant passé les épreuves de la session normale de l’examen national du Baccalauréat, session de juin 2024, peuvent désormais d… |